Résumé de la 20e partie n Landru continue à cacher son identité. Il affirme ne pas avoir de rapport avec des dames disparues, mais la découverte de son calepin démontre le contraire. Landru est arrêté et conduit au poste de police. On lui pose de nouveau des questions sur son identité. — c'est bon, dit Landru, je ne m'appelle pas Lucien Guillet, mais Henri Désiré Landru… — et pourquoi avez-vous caché votre identité ? Landru baisse la tête. — je me suis rendu coupable d'escroqueries… J'étais recherché ! — mais il n'y a pas que cela… — je ne cache rien messieurs ! — c'est ce que nous allons voir ! Le procédé n'est pas légal, mais toute la police du monde y recourt, notamment quand il s'agit de faire avouer une personne qu'on soupçonne être un grand criminel. Landru est conduit dans une pièce sombre et deux policiers se relaient pour l'interroger avec une lampe à la lumière éblouissante. — dites-nous, que sont devenues ces femmes auxquelles vous avez promis le mariage ! — je ne vois pas de qui vous parlez ! — et ce carnet… Qu'y notiez-vous ? — Mes dépenses quotidiennes ! — mais ces noms… — ce sont des noms ! Le faisceau lumineux de la lampe aveugle Landru. Il ferme les yeux. — ouvrez les yeux ! — ça fait mal ! — si vous ne les ouvrez pas, nous allons vous forcer à le faire ! Landru doit ouvrir les yeux. — avouez ! — je n'ai rien à avouer ! Les policiers se relaient. Profitant du moment de répit qu'on lui donne, Landru s'endort. — il dort ! — ce n'est pas croyable ! On le réveille. Il se plaint. — messieurs, pourquoi me tourmentez-vous ? — avouez et on vous laissera tranquille ! Landru sourit. — mais je n'ai rien à avouer ! La torture – s'il faut appeler ainsi le traitement infligé à ce monstre – reprend. La lumière aveugle Landru. — je n'ai rien à dire ! Il s'endort de nouveau. on le réveille, mais il se rendort à nouveau. La tentative de faire avouer Landru échoue. Mais il est quand même inculpé. (à suivre...)