Saïda : Les services de l'Opgi ont adressé plus de 3 500 mises en demeure aux locataires pour non-paiement des loyers. Cette situation a généré un manque à gagner évalué à 160 millions de dinars. - La création d'une agence de wilaya de gestion et de régularisation du foncier urbain a été approuvée lors de la dernière réunion de l?APW de Saïda. Cette instance, qui se chargera dorénavant de la gestion du portefeuille foncier, englobera les agences communales d'Ouled Khaled, Aïn El-Hadjar et celle du chef-lieu de wilaya. Annaba : Deux individus, en possession de 105 kilogrammes de cannabis, ont été arrêtés par les éléments de la sûreté urbaine d'El-Tarf. Les deux mis en cause, âgés de 19 et 38 ans, ont été déférés au parquet qui a ordonné leur mise en détention préventive sous l'inculpation de vente de stupéfiants. - Une nouvelle bibliothèque de dimension régionale sera réalisée à proximité du Palais de la culture Mohamed-Boudiaf de Annaba, durant cette année, a-t-on appris auprès de la direction de la culture. Cette nouvelle bibliothèque renfermera d'importants équipements, notamment l'outil informatique et des structures d'animation culturelle et scientifique. Souk-Ahras : La Commission technique de la wilaya (ctw) de Souk-Ahras, chargée du soutien de l'Etat aux agriculteurs, a décidé l'octroi des aides à 940 producteurs de céréales. Selon la direction des services agricoles de la wilaya, 970 dossiers ont été déposés à cet effet à la Banque de l'agriculture et du développement rural (Badr). Tlemcen : 1,5 tonne de shampoing a été saisie au port de Ghazaouet (Tlemcen), a-t-on appris mardi auprès de la direction régionale des enquêtes économiques et de la répression des fraudes, domiciliée à Oran. Cette saisie a été effectuée pour défaut d'étiquetage en langue nationale, a indiqué la même source qui a précisé que la valeur marchande de ce produit est évaluée à 580 000 dinars. Khenchela : La réalisation de 440 logements sociaux dans la wilaya de Khenchela, inscrits dans le cadre des programmes 2002 et 2003, n'a pas été lancée à ce jour, a indiqué le directeur des équipements publics. Ce retard serait dû, selon les responsables du secteur de l'habitat, à l'indisponibilité des terrains d'assiette, à la faiblesse des soumissions des bureaux d'étude et au défaut de contrats de propriété.