APN: ouverture des travaux d'une Journée parlementaire sur la professionnalisation et les défis de modernisation de l'ANP    L'Algérie abritera en mai les assemblées annuelles du Groupe de la Banque islamique de développement    Ghaza : le bilan de l'agression génocidaire sioniste s'élève à 50.810 martyrs et 115.688 blessés    Hadj 2025: des centres de formation mobilisés au profit des hadjis    Accidents de la route: 32 morts et plus de 2030 blessés en une semaine    Télécommunications: le Président de la République donne son feu vert à la 5G    Une délégation du Collège national de défense du Sultanat d'Oman en visite à l'APN    Renforcer la communication entre l'ONSC et la société civile pour promouvoir l'action participative    Réponse ferme et application de la réciprocité    Orlando Pirates – MCA : à qui le dernier mot ?    Fournir les meilleurs services technologiques aux citoyens    La théorie de la thermodynamique appliquée aux jeux contradictoires des acteurs    Les chauffeurs des autobus de voyageurs reviennent à la charge !    Le ministre de la Culture et des Arts se félicite de la restauration et numérisation des manuscrits en Algérie    Communiqué du Conseil des ministres    Concours des meilleurs travaux scolaires "L'Algérie et les causes justes": installation du jury    Oran: un colloque sur les travaux de l'historien algérien défunt Omar Carlier    Le Conseil national palestinien condamne le ciblage des journalistes par l'armée sioniste    1e étape du grand prix national de Triathlon: une course de duathlon vendredi prochain à Oran    ANP: Portes ouvertes sur le Centre d'instruction spécialisée du Transport de M'sila    Coupe de la CAF : Le CS Constantine s'envole cet après-midi vers Alger    Eliminatoires Coupe du Monde féminine 2026 (U20) : les Algériennes en stage à Sidi Moussa    Ghaza : le bilan de l'agression génocidaire sioniste s'alourdit à 50.752 martyrs et 115.475 blessés    Un Marocain arrêté en France avec 120 kg de drogue    Les impacts des taxes douanières américaines sur l'économie algérienne via la rente des hydrocarbures    De mauvaise foi et mauvaise perdante !    Des centaines de milliers de personnes manifestent contre Trump et Musk    La menace de la cocaïne gagne du terrain !    Le CRB à quatre points du MCA le leader    Thomas Müller annonce son départ après 25 ans de présence    Boughali rencontre son homologue bahreïni    Monstre sacré du cinéma algérien    Mascara: le Moudjahid Zougart Abdelkader inhumé    Saisie de deux kilos de kif et de cocaïne    Le PCF exige l'application de la loi    Sansal ou l'espionnage plumitif au service de l'ancienne puissance coloniale ?        L'Algérie happée par le maelström malien    Un jour ou l'autre.    En Algérie, la Cour constitutionnelle double, sans convaincre, le nombre de votants à la présidentielle    Algérie : l'inquiétant fossé entre le régime et la population    Tunisie. Une élection sans opposition pour Kaïs Saïed    BOUSBAA بوصبع : VICTIME OU COUPABLE ?    Des casernes au parlement : Naviguer les difficiles chemins de la gouvernance civile en Algérie    Les larmes de Imane    Algérie assoiffée : Une nation riche en pétrole, perdue dans le désert de ses priorités    Prise de Position : Solidarité avec l'entraîneur Belmadi malgré l'échec    Suite à la rumeur faisant état de 5 décès pour manque d'oxygène: L'EHU dément et installe une cellule de crise    







Merci d'avoir signalé!
Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.



Un problème d'organisation
Publié dans Info Soir le 02 - 12 - 2008

Programme n La Société nationale de l'électricité et du gaz (Sonelgaz) prévoit dans son plan de développement qui doit s'étaler sur 5 ans, une enveloppe financière importante.
«En fait, c'est vrai qu'avant l'arbitrage tel que préconisé par le ministre de l'Energie, l'enveloppe dont aurait besoin le secteur ces 5 prochaines années s'élèverait à peu près à 100 milliards de dollars. Sur cette enveloppe, 15 milliards de dollars seraient dédiés au groupe Sonelgaz qui a, lui, pour ambition, de contribuer à financer une partie de ce programme par ses ressources propres», a tenu à préciser Abdelkader Choual, directeur exécutif du département finances de la Sonelgaz. «Nous situons cette contribution à hauteur de 30%, le reste devrait être pris en charge par les banques nationales publiques en application de la stratégie de couverture des besoins financiers par les ressources locales», a noté M. Choual qui ajoute qu'«en fait, la question qu'il faut se poser à notre sens, c'est de se dire : est-ce que les banques nationales sont capables de prendre en charge ces besoins ?». «Nous ne faisons pas, là, allusion aux capacités financières des banques, car elles disposent aujourd'hui de capacités financières importantes, elles sont, dans certains cas, dans des positions de surliquidités.
Mais nous parlons beaucoup plus des capacités institutionnelles et organisationnelles», a-t-il fait remarquer. Sur le plan institutionnel, dit-il, «aujourd'hui, et cela a été souligné par les P-DG des banques, nos banques se caractérisent par des facteurs de blocage à l'exemple de la sous-capitalisation».
La sous-capitalisation des banques publiques les empêche, selon le communicateur, de prendre les engagements nécessaires auprès des opérateurs.
La seconde contrainte est liée à l'aspect organisationnel et relatif à la capacité d'apprentissage à utiliser ce type d'instrument moderne de financement «même s'il est vrai que nous avons financé aujourd'hui environ 8 milliards de dollars par le biais du ‘'Project Finance'' (un plan de financement propre au secteur, ndlr)», a souligné le représentant de Sonelgaz qui relève que cette opération «a été le déclencheur en matière d'apprentissage de l'utilisation de cet outil de financement».
«Mais il nous semble qu'il y a lieu de développer la formation des intervenants pour qu'ils puissent répondre à cette attente», a-t-il suggéré. Par ailleurs, le souci majeur des responsables de Sonelgaz, selon son directeur financier, c'est aussi de dire qu'à cause de cette sous-capitalisation, le groupe Sonelgaz s'est très vite heurté, à la capacité limitée des banques publiques à prendre le financement de ses programmes sur leurs propres ressources. «Il a fallu revenir à la garantie de l'Etat pour pouvoir continuer à financer notre développement», a-t-il précisé.


Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.