n Les habitants s'approvisionnent d'une source dont ils partagent l'eau avec les animaux. D'où les risques de prolifération de maladies à transmission hydrique. «L'eau n'est jamais analysée», s'indigne M. Mekki. «Pourtant, dit-il, il existe une source distante de 1 km seulement du village et dont l'eau peut être acheminée par un simple tuyau. Actuellement, l'eau se perd dans l'oued. Un véritable gâchis.» en outre, le village ne dispose pas de réseau d'assainissement et les habitants utilisent des fosses septiques qui attirent beaucoup de moustiques.