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«Vaines et désespérées tentatives visant à semer le trouble et la division» L'ANP réagit aux manœuvres de déstabilisation de certains parties et partis
Face aux multiples insinuations, analyses et interprétation de la presse et des politiques sur une prétendue «guerre des clans» opposant l'institution militaire et la présidence de la République pour des repositionnements et successions, l'Armée nationale populaire (ANP) rompt le silence, rassure et dénonce ce qu'elle qualifie de «vaines et désespérées tentatives visant à semer le trouble et la division». «La cohésion entre l'Armée nationale populaire et le peuple algérien ainsi que la loyauté envers la Nation sont plus profondes et plus fortes pour être ébranlées par les vaines et désespérées tentatives visant à semer le trouble et la division», écrit l'institution dans une chronique parue dans sa revue mensuelle El Djeich de novembre signé par la rédaction. Face aux multiples insinuations, analyses et interprétation de la presse et des politiques sur une prétendue «guerre des clans» opposant l'institution militaire et la présidence de la République pour des repositionnements et successions, l'Armée nationale populaire (ANP) rompt le silence, rassure et dénonce ce qu'elle qualifie de «vaines et désespérées tentatives visant à semer le trouble et la division». «La cohésion entre l'Armée nationale populaire et le peuple algérien ainsi que la loyauté envers la Nation sont plus profondes et plus fortes pour être ébranlées par les vaines et désespérées tentatives visant à semer le trouble et la division», écrit l'institution dans une chronique parue dans sa revue mensuelle El Djeich de novembre signé par la rédaction. Plusieurs personnalités nationales et partis politiques avaient, notamment ceux rassemblés dans ce qui reste de l'Instance de concertation et de suivi de l'opposition (Icso), avaient lancé des appels à l'application de l'ancien article 88 de la Constitution pour destituer le chef de l'Etat, après sa première hospitalisation, en France, en 2013. D'autres, à l'image de l'ancien candidat à la présidentielle Ali Benflis, ne cessent de clamer la «vacance du pouvoir». En réponse à ces appels la rédaction de la revue de l'ANP indique que «dans un passé très proche, certaines voix, muent par des intérêts étroits et des calculs personnels, s'étaient élevées pour appeler ouvertement l'Armée nationale populaire à violer la Constitution et la loi afin qu'elles puissent réaliser ce qu'elles n'avaient pu obtenir par des voies constitutionnelles, légales et démocratiques». Le départ de l'ex-secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Amar Saâdani, et les analyses par certains médias et politiques qui s'en sont suivies liant l'évènement à la proximité de l'ancien chef du FLN au vice-ministre de la Défense et chef d'Etat-major, le général de corps d'armée Ahmed Gaïd Salah, aux présidentielles de 2019 et/ou aux appétits politiques des uns et des autres, n'ont pas échappés à l'auteur de la chronique. «Aujourd'hui, après l'échec de ces tentatives désespérées, ces parties, habituées à pêcher en eaux troubles, ne s'embarrassent pas de laisser libre cours à leur imagination, à leurs élucubrations, à leurs interprétations et à leurs divagations en inventant des histoires de toute pièce», écrit la rédaction d'El Djeïch qui estime que l'objectif recherché de ces énièmes tentatives désespérées «n'est autre que de vouloir porter atteinte à la crédibilité, à l'unité, à la discipline et l'engagement de l'ANP à accomplir ses missions constitutionnelles». Face à ces voix qui «tentent de semer la discorde» et la «mal interprétation des événements politiques», l'ANP assure de la cohésion de l'institution. A. B.