Le président du Front El Moustakbel, Abdelaziz Belaïd, a appelé, hier à Aflou (Laghouat), lors d'un meeting ayant réunis militants et sympathisants du parti, à faire confiance aux jeunes cadres algériens et à leur «ouvrir les portes du futur». M. Belaïd a indiqué que la conjoncture «requiert la cohésion, appelant, à ce titre, à «reconquérir la confiance et l'entraide entre les Algériens par le respect, la fraternité entre concitoyens et en fonction d'une approche économique claire axée sur les bras locaux, notamment dans le secteur de l'agriculture». Le président du Front El Moustakbel, Abdelaziz Belaïd, a appelé, hier à Aflou (Laghouat), lors d'un meeting ayant réunis militants et sympathisants du parti, à faire confiance aux jeunes cadres algériens et à leur «ouvrir les portes du futur». M. Belaïd a indiqué que la conjoncture «requiert la cohésion, appelant, à ce titre, à «reconquérir la confiance et l'entraide entre les Algériens par le respect, la fraternité entre concitoyens et en fonction d'une approche économique claire axée sur les bras locaux, notamment dans le secteur de l'agriculture». Il insistera également sur l'importance d'une «ouverture d'un véritable dialogue entre tous les Algériens». M. Belaïd a estimé que la scène politique nationale a vécu ces dernières années «un certain pourrissement», car dominée par certaines catégories. «Cet état de fait ne peut permettre l'édification d'un Etat fort», a-t-il soutenu. Concernant le programme de sons parti, il le qualifiera de «riche, vaste, ouvert et apte à être enrichi, fondé sur la vertu de l'homme et ses capacités». De son côté, le président du Front national de la justice sociale (Fnjs), Khaled Bounedjma a, lui, indiqué, hier à Oran, que la responsabilité et le devoir exigent de la classe politique un discours de franchise, clair et transparent. M. Bounedjma qui s'exprimait lors d'une rencontre avec les cadres et militants du Fnjs d'Oran, a, d'autre part, demandé aux responsables de prendre les bonnes décisions qui s'adaptent au système social de l'Etat et arrangent le pouvoir d'achat des citoyens. «L'Algérie a besoin en cette conjoncture d'intelligence économique», a-t-il déclaré. Par ailleurs, M. Bounedjma ne manquera pas d'appeler à la sensibilisation pour voter massivement lors du prochain rendez-vous électoral «décisif» et de bien choisir les représentants du peuple au niveau des assemblées nationale et locale. Quant au président d'El Fadjr El Djadid, Tahar Benbaïbech, après avoir annoncé, hier à Sétif, la participation du parti aux prochains rendez-vous électoraux de 2017, décision prise à l'unanimité par le conseil national de sa formation politique, il promettra que les candidats du parti, s'ils sont élus, «feront de la prochaine Assemblée nationale une tribune pour la défense des intérêts du peuple algérien». M. Benbaïbech a, en outre, insisté sur «l'importance de l'action politique pacifique et la continuation de la revendication politique et du militantisme par les moyens légaux et civilisationnels». L'intervenant a mis en garde contre l'instabilité qui écarte davantage les possibilités de solutions politiques, estimant que la crise «se traite par la sincérité et la responsabilité». Le président d'El Fadjr El Djadid a souligné que «les problèmes de l'Algérie se résoudront par la participation populaire et par le dialogue que ne rejette que celui qui craint la confrontation».