Même s'il existe plusieurs dizaines d'arts martiaux à travers le monde, dont les plus connus sont nés en Asie, ils ne sont pas tous pratiqués en Algérie. Seulement, comparativement à d'autres pays du continent africain, ces sports sont assez développés dans notre pays où une dizaine d'entre eux sont bien connus. On peut citer notamment les disciplines représentées au sein de la Fédération algérienne des arts martiaux (FAAM), en l'occurrence l'aikido, le kung fu wushu, le ki shintai jutsu boxe totale, le vovietnam, le kempo, le vovinam vietvodao, le yoseikan budo et le nihon tai-jitsu. Il y a également le karaté, le judo et le tae-kwon-do, classés également arts martiaux, mais qui ont leurs propres fédérations respectives. Voici quelques définitions, selon une documentation de la FAAM, des arts martiaux dont cette fédération a la charge. Kung-fu wushu Kung-fu wushu est un terme générique et littéraire qui signifie et représente tous les arts martiaux chinois. En somme, le kung-fu wushu est l'habilité de l'homme à se parfaire en quelque chose. Le kung-fu wushu est un éminent héritage culturel et un art traditionnel venu de Chine. Il a été fondé dans le monastère de shaolin, au Ve siècle avant J.-C. par un moine indien, Boudhidarma, descendu du Tibet vers la Chine pour y enseigner la méditation technique de combat à ses disciples. Le kung-fu wushu a de nombreuses écoles, divisées en catégories suivant les caractéristiques techniques. Il y a, entre autres, les «mains nues», qui est un style du Nord (chang quan), celui du Sud (nan quan) et le style interne (taiji quan), comme il y a le kung-fu wushu avec armes (épée, sabre, baton et lance) ou bien le kung-fu wushu de combat (sanshou ou sanda lutte chinoise, shuai-jiao et shou bo). Il existe plusieurs styles (environ 400) comme le hung gar, le choy lee fut, le wing tcheng, etc. Par ailleurs, il est utile de savoir que le kung-fu wushu est l'imitation des arts de combat des animaux. Lors de l'exécution de ces imitations, le pratiquant doit montrer les traits principaux du sujet. Le kung-fu-wushu a été introduit en Algérie par maître Djamel Amrane en est 1983 en créant l'Association nationale de shaolin kung-fu wushu à Alger, offrant ainsi aux jeunes toute son expérience afin d'encourager la pratique de cette discipline martiale et ancestrale. La Fédération algérienne de kung fu wushu a été créée en 1990 et le directoire de cette fédération a été créé en 2001. Actuellement,est représenté par un comité national au sein de la Fédération algérienne des arts martiaux. Son premier responsable est Tasmlal Mohamed. Le kung-fu wushu est représenté à travers 32 wilayas avec 47 000 pratiquants. Ki shintai jutsu boxe totale Le ki shintai jutsu boxe totale se compose d'une étude de combinaisons d'atémis, de clés, de projections et de katas. Il se présente comme une activité physique et sportive complète, une self-défense agréable et accessible à tous. Cette école envisage un travail complet en positions debout et au sol. Visant le plein épanouissement de l'être humain, il s'accompagne par la suite d'un travail sur la respiration, l'énergie intérieure ainsi que d'une recherche de la coordination entre le corps et l'esprit. Dans cette recherche perpétuelle de l'équilibre, le ki shintai jutsu boxe totale s'appuiera sur le principe du yin et du yang, du tao, ainsi que sur la théorie des cinq éléments de la philosophie orientale. La pratique du ki shintai jutsu boxe totale tend à développer l'esprit de décision et apporte une meilleure connaissance de soi et des autres. Cette discipline est donc une école de budo traditionnel développant une self-défense supérieure par l'emploi de l'énergie vitale et la maîtrise du corps et de l'esprit. Le ki shintai jutsu boxe totale a été introduit en Algérie par l'expert Farid Khennouche en 2000 avec la création de plusieurs clubs à Alger. Cet art martial est représenté par un comité national au sein de la Fédération algérienne des arts martiaux depuis 2004. Farid Khennouche est le 1er ceinture noire ki shintai jutsu boxe totale en Algérie. Il a commencé à pratiquer les arts martiaux, comme le judo, le karaté et plusieurs autres disciplines, depuis l'âge de 14 ans. Il a également pratiqué, pendant longtemps, le full contact et le nihon tai jitsu. Khennouche est devenu entraîneur depuis 1995. Il a étudié le ki shintai jutsu boxe totale sous la direction du grand maître Roland Boudet, fondateur de cette méthode, qui l'a d'ailleurs nommé délégué général du ki shintai jutsu boxe totale pour l'Algérie. Kempo Fondamentalement, le kempo est l'art de la défense, l'art du combat. En fait le kempo est la pratique de la formation extrême afin de forger une meilleure et plus forte personnalité, mentalement et physiquement. Toutefois, en énonçant l'importance de la formation physique, il faut également noter que le kempo, comme enseigné tôt par les maîtres, était un art curatif aussi. Il existe plusieurs écoles et branches de kempo ou kenpo dans le monde et chacune de ces écoles et branches se relie directement aux techniques traditionnelles par les katas (tao) et techniques de combat. Les plus grandes des branches de kempo ou kenpo sont le sholin kempo, le in yo ryu kempo, le shorinji kempo, le ed-parker (kenpo) ou kenpo americain, le nippon kempo, l'okinawa kempo et le kenpo-kai, ainsi que plusieurs autres branches qui sont en train de se développer dans différents pays du monde. En Algérie, le kempo y fut pratiqué durant la période coloniale, d'où certains maîtres français transmettaient quelques techniques de kempo à leurs élèves. Au lendemain de l'indépendance, cette discipline a cessé d'exister jusqu'à la fin des années soixante, période au cours de laquelle plusieurs salles ont été ouvertes à Alger par de jeunes diplômés qui se sont déplacés en Hollande pour y apprendre le kempo, puis l'enseigner en Algérie. Malheureusement, ces salles n'ont pu continuer et les pratiquants se sont tournés vers d'autres styles d'arts martiaux. En 1976 fut reprise la pratique du kempo en Algérie grâce au maître Taibi, formé en Hollande et qui a ouvert son premier dojo à Fouka, dans la wilaya de Tipasa. Au début, le kempo était affilié à la Fédération algérienne de judo, karaté-do et disciplines associées, puis à la Fédération algérienne de karaté do. En 1989 le kempo s'est affilié à la Fédération algérienne d'aikido, vo-vietnam et disciplines associées, et ce jusqu'au 26 avril 2001, date de la création de la Fédération algérienne des arts martiaux. Depuis son introduction en Algérie, le kempo était mal structuré avant la création de la Fédération algérienne des arts martiaux, ce après quoi les conditions devinrent très favorables à la structuration de la discipline et de toutes ses branches annexes. Vovietnam Le vovietnam est un art martial traditionnel du Vietnam né au Tibet il y a plus de 4 000 ans. Il est pratiqué au Vietnam depuis environ 2 000 ans. Ce qui semble spécifique aux arts martiaux de bon nombre de pays asiatiques est le rapport constant qu'ils ont avec la philosophie et la médecine. Mais ce qui distingue en plus le vo du Vietnam est son lien millénaire avec le mouvement d'indépendance du peuple vietnamien. Le vovietnam se pratique à mains nues ou avec des armes traditionnelles telles que le bâton court et long, l'épée, le sabre court et long et la guisarme. Il comporte dix-huit disciplines de combat, la technique à mains nues comporte 108 mouvements de base (pieds et mains, y compris les chutes). Le vovietnam a été introduit en Algérie en 1973 par le professeur Larbi Aït Abdelmalek, qui a été pendant sept ans l'élève du maître Nguyen Duc Moc. La première section est ouverte au sein du Nadit (ex-Onaco), au Square Sofia, à Alger, en mars 1973, et fonctionne jusqu'en novembre de la même année avec un effectif d'une centaine d'élèves. Le vovietnam était affilié à la Fédération algérienne de judo et disciplines assimilées jusqu'au 1983. Avec l'aikido, il a été procédé à la création de la Fédération algérienne d'aikido vovietnam et disciplines associées en fin 1983. Vovinam vietvodao Le vovinam vietvodao, art martial traditionnel vietnamien, est l'œuvre de tout un peuple, engagé tout au long de son histoire dans une lutte pour la définition et la préservation de son identité. Depuis sa fondation par l'empereur Hung Vuong en 2879 avant J.-C., des étapes clés ont assuré la lente et souvent douloureuse maturation de ce qui allait devenir un art martial conjuguant. Ce qui caractérise la philosophie du vietvodao, une philosophie extrême-orientale et riche, c'est sa dimension pratique, c'est-à-dire basée sur une certaine morale, qui s'intéresse à l'être dans un contexte large avec la perspective de ses relations avec soi-même, les autres créatures et avec l'univers dans lequel il vit. Cette philosophie est si riche qu'elle représente tout un système. Les concepts philosophiques du vietvodao comme «l'être humain», «le monde», «la sagesse», «l'univers», «les principes», «le chemin», «la voie», «l'art», «la force», «l'énergie», «le corps», «l'esprit», «le mouvement» se basent et se réfèrent au principe fondamental de l'harmonie. De cette façon, le dao ou le chemin de l'art martial vietnamien, vise à la formation de l'homme fort, l'homme vrai. Ce chemin, ou voie, est fondé sur le principe de l'harmonie entre la force et la flexibilité ; cette force et cette flexibilité comme ceux du bambou (qui est une plante utile dans le milieu et les forêts de l'Asie), c'est pourquoi ce bambou représente le symbole du vietvodao, il est droit, flexible et vert pendant toutes les saisons de l'année, ce qui signifie que l'on doit toujours rechercher cette verdure, cette droiture, cette flexibilité en nous, cette force dans nos esprits et nos corps et faire en sorte qu'ils soient verts durables en continuité dans notre vie, le vietvodao cultive la force, être fort pour être utile à soi et aux autres. Aussi, la persévérance, la modestie, la fraternité, l'amitié, la bonté, le courage, la conscience envers soi et envers l'humanité et son destin, le sens de la responsabilité, la patience représentent des valeurs primordiales dans cette philosophie qui incite à rechercher constamment l'équilibre dans toute chose, et l'harmonie de l'intérieur et de l'extérieur. L'harmonie est l'âme du vietvodao. Elle est imprégnée de la culture millénaire et de la sagesse du peuple vietnamien. Pratiquer le vietvodao incite à s'ouvrir sur la culture de l'autre pour ajouter un plus à sa culture propre, pour se faire des amis, être plus sage, et vivre le bonheur, la paix avec tout le monde. Yoseikan budo Né en 1907, maître Minoru Mochizuki est 10e dan Aïkido, 9e dan ju-jitsu, 8e dan judo, 8e dan iaïdo et 8e dan katori shinto ryu. Elève de Me Jigoro Kano (créateur du judo), il a aussi pratiqué avec les Mes Kyuzo Mifune (dont il fut l'assistant) et Sambo Toku (tous deux assistants de Me Kano). Egalement assistant de Me Morihei Ueshiba (créateur de l'Aïkido), il fut le premier à présenter l'aïkido en Europe, et est considéré comme l'un des plus grands maîtres d'arts martiaux du XXe siècle... Il fonde en 1931 un dojo qu'il nomme Yoseikan (reconstruit après la guerre en 1950) où il enseigne le judo, l'aïki-jujitsu, le iaïdo et le kobudo (katori shinto ryu). A la fin des années 1960 y sera également enseigné le karaté sous la direction de Me Sano. A la demande d'un de ses élèves, Jim Alcheik, cofondateur en France de la Fédération d'aïkido, taï jitsu et kendo, il envoie, en 1957, son fils aîné, Hiroo en Europe, afin de promouvoir l'aïkibudo. Ce dernier sera, cette année-là, le premier Japonais à y présenter le karaté shotokan. Hiroo Mochizuki retourne au Japon en 1959 afin de terminer ses études de vétérinaire. C'est à la suite du décès accidentel de Jim Alcheik, en Algérie, en 1963 et à la demande des élèves de ce dernier, que son père l'envoie de nouveau en France. De retour en France, il y enseigne l'aïkido et introduit le karate wado ryu en Europe. Il devient le 1er conseiller technique des sections d'aïkido et de karaté de la FFJDA (Fédération française de judo et disciplines assimilées). C'est aux côtés de Jacques Delcourt qu'il participe à la création de la FFKAMA (Fédération française de karaté et arts martiaux affinitaires) et de l'Union européenne de karaté, en 1965, dont il deviendra également le 1er conseiller technique. Maître Hiroo Mochizuki (né en 1936 à Shizuoka, Japon) détient de son père la base de son savoir en aïkido (8e dan), ju-jitsu (8e dan), iaïdo (7e dan), judo (3e dan) et kobudo. Mais il a aussi reçu en parallèle, une solide formation de karaté (7e dan) dont il a pratiqué différents styles : principalement le Shotokan avec Maître Hyogo ainsi que le wado ryu avec les Maîtres Hironori Ohtsuka et Shinji Michihara. Enfin, il a pratiqué la boxe française, la boxe anglaise (avec un champion professionnel) et a observé tous les arts martiaux, en particulier chinois, avec beaucoup d'intérêt. En 1965, il crée sa propre méthode d'arts martiaux. D'abord nommée yoken (maîtrise du sabre et du poing), il l'appellera ensuite yoseikan budo, en hommage à son père, «Yoseikan» étant le nom du Dojo de Maître Minoru Mochizuki. En Algérie, le comité yoseikan budo au sein de la Fédération des arts martiaux est présidé par Mouhoub Salah, l'un des précurseurs – si ce n'est le précurseur – de cette discipline en Algérie. Aïkido L'aïkido, dont le président du comité ayant en charge cette discipline au sein de la FAAM est Omar Benalia, a été fondé par Morihei Ueshiba. Ce dernier, né le 14 décembre 1883, était de faible constitution, souvent malade et très nerveux. Dès son plus jeune âge, il fut fortement attiré par la religion. Ses parents l'encouragèrent à poursuivre des activités physiques, tels que le sumo et la natation afin d'équilibrer cette tendance. A vingt ans, il se rend à Tokyo et passe ses soirées à étudier les anciennes techniques de ju-jitsu, en particulier celle de l'école Kito, sous la direction du Maître Tozawa. Parallèlement, il pratique le ken-jutsu (sabre) dans un dojo de Shinkage Ryu (Ecole shinkage). Après être tombé malade, il décide de se forger un corps neuf et solide. Il s'astreint à un entraînement dur et progressif basé sur la condition physique et la force pure. Bien que de petite taille (1,54 m), il était beaucoup plus fort que la moyenne. Mais, la seule force physique ne le satisfaisant pas, il se rendit à Sakai, afin d'y étudier le sabre de l'école Yagyu sous la conduite de Maître Nakaï. En février 1915, au cours d'un voyage, il rencontre le grand Maître de l'école Daïto : Sokaku Takeda. Ce dernier décida de lui enseigner les techniques secrètes de daitoryu. Dès son retour, il ouvre un dojo et invite le Maître Takeda. Il lui construit une maison et s'occupe totalement de lui. En novembre 1919, il rencontre un grand maître mystique doué de rares pouvoirs spirituels : Wanisaburo Deguchi. Pour lui, cette rencontre fut capitale car il avait conscience que, s'il maîtrisait la force et la technique, son énergie spirituelle restait fragile et chancelante à la moindre épreuve psychologique. Très peiné par la disparition de son père, survenue le 2 janvier 1920, Maître Ueshiba passa quelques mois à méditer puis il décida de s'installer à Ayabe, dans le temple de l'Omoto-Kyo, afin d'étudier sous la direction de Wanisaburo Deguchi. Ce dernier, pacifiste convaincu, quitte le Japon le 13 février 1924, avec quelques disciples, dont Maître Morihei Ueshiba, avec l'intention de bâtir en Mongolie, où s'affrontaient les armées chinoises et japonaises, un royaume de la paix. Ils échouèrent dans leur tentative et furent prisonniers des armées chinoises pendant plusieurs mois. De retour au Japon, Maître Ueshiba reprit avec encore plus d'intensité qu'auparavant ses recherches sur le Budo et sa vie d'ascétisme. C'est à cette époque qu'il comprit que le vrai budo n'est pas de vaincre un adversaire par la force mais de garder la paix en ce monde, d'accepter et de favoriser l'épanouissement de tous les êtres. Si la recherche spirituelle est présente dans tous les arts martiaux japonais, jamais personne ne l'avait approfondie jusqu'à englober en son sein l'amour de l'humanité. C'est de toutes ces rencontres et expériences techniques ou philosophiques que naîtra l'aïkido en 1925. Dès 1926, le nom de Ueshiba commençait à être connu et d'éminents budokas ainsi que d'importantes personnalités du monde politique ou militaire lui rendirent visite. Il s'installa en avril 1931 à Wakamatsu-cho, un quartier de Tokyo, dans un dojo nouvellement construit qui prit le nom de Kobukan. Lorsque le vénérable Maître s'éteignit le 26 avril 1969, l'aïkido s'était répandu à travers le monde et était pratiqué par des centaines de milliers de personnes sur les cinq continents. Nihon tai jitsu Art de combat d'inspiration japonaise, mais de conception occidentale, le nihon tai jitsu qui signifie en Japonais «techniques du corps» est en fait une méthode moderne de self-défense. Il ne s'agit pas de l'addition de judo, d'aïkido et de karaté mais d'un sport basé sur les attaques telles qu'elles pourraient se produire dans la vie quotidienne.Nous retrouvons, bien sûr, des mouvements des arts martiaux traditionnels (frappes, luxations et projections), mais ces mouvements ont subi des transformations pour les adapter à la défense proprement dite. De plus, sur le plan pédagogique, la méthode mise au point par des professeurs d'arts martiaux, doublés d'enseignants d'éducation physique, est très progressive.Les techniques sont classées de manière judicieuse et faciles à suivre, pouvant être pratiquées par tous, n'incluant pas de chutes violentes, pas de compétition. N'oublions jamais que le nihon tai jitsu est un ensemble de techniques de défense personnelle et non un moyen d'attaque. La défense se fait à mains nues contre un ou plusieurs adversaires armés ou non.A notre époque où la violence éclate de toutes parts, les méthodes de défense sont plus que nécessaires et le nihon tai jitsu en particulier. La maîtrise de cette discipline, si l'esprit en a bien été saisi, doit engendrer la paisible assurance des forts et des sages et non l'agressivité systématique. La «self-defense» est la défense de soi et non l'attaque des autres. Si la riposte est dure, nette, définitive, elle est néanmoins proportionnée à l'attaque, donc toujours juste. Le nihon tai jitsu est une méthode française de self-défense dans laquelle on envisage que la vie du pratiquant peut-être mise en danger. Il faut donc en un minimum de temps et d'efforts, obtenir un maximum d'efficacité avec le moins de risques possible. Il est à noter que le nihon tai jitsu était aussi appelé autrefois au Japon koshi no mawari ; la partie projections et luxations portait le nom de ju-ho (méthode de la souplesse). A. S.