nRestructuration prochaine de sites ruraux dans la wilaya de Constantine 84 sites ruraux de la wilaya de Constantine seront ciblés par une vaste opération de restructuration devant être lancée «incessamment», a indiqué, hier, le directeur de l'Urbanisme et de la Construction (DUC). Ce programme de «réhabilitation de l'espace rural constantinois» concernera les habitations précaires et les constructions érigées en dehors des normes en vigueur, qui seront réaménagées. Les travaux de réfection des réseaux d'AEP, d'assainissement, d'éclairage public, ainsi que le revêtement des routes, figurent parmi les principales actions devant être entreprises. L'étude de restructuration de ces sites a été confiée à des bureaux d'études publics. La sélection des sites a été effectuée en fonction du degré de délabrement des espaces. D'autres sites seront touchés au cours d'étapes ultérieures, au fur et à mesure de l'avancement de la première tranche. nLa généralisation de l'enseignement de tamazight est une question de temps Le ministre de l'Education nationale, Boubekeur Benbouzid, a déclaré, hier à Tizi Ouzou, que la généralisation de l'enseignement de la langue tamazight «est une question de temps». «Nous œuvrons à la généralisation de l'enseignement de cette langue nationale à travers tout le territoire national, en mobilisant les moyens nécessaires», a indiqué M. Benbouzid qui a estimé qu'il «faut aller doucement pour changer les mentalités et aboutir à cette généralisation». «Tamazight est actuellement enseignée dans 13 wilayas», a-t-il indiqué. nRéunion de l'Union africaine à Pretoria sur la situation en Libye Une réunion de la Commission de l'Union africaine (UA) sur la Libye a été ouverte, hier à Pretoria, (Afrique du Sud). Ce mini-sommet devrait mettre l'accent sur l'appel de l'UA à la formation d'un gouvernement d'union à Tripoli. La réunion, qui regroupe les présidents sud-africain Jacob Zuma, congolais Denis Sassou Nguesso et ougandais Yoweri Museveni, ainsi que le ministre des Affaires étrangères mauritanien et l'ambassadeur du Mali en Afrique du Sud, a débuté dans la soirée. Mardi dernier, la ministre sud-africaine des Affaires étrangères, Maite Nkoana-Mashabane, avait réitéré la nécessité de «créer un gouvernement intérimaire comprenant toutes les parties libyennes, pour préparer un gouvernement démocratique élu à travers une élection démocratique, précédée par une Constitution provisoire». nAide de l'Inde pour les pays africains frappés par la famine L'Inde accordera une aide humanitaire de huit millions de dollars américains aux pays africains frappés par la famine et la sécheresse, a indiqué le ministère indien des Affaires étrangères. «L'Inde a la ferme volonté d'agir pour le progrès et le développement de l'Afrique», a indiqué le ministère dans un communiqué. Le communiqué précise qu'une aide économique de 5,7 milliards de dollars sur les trois prochaines années est «une démonstration de nos relations solides et de notre engagement». «L'Inde a également accordé 1,5 million de dollars américains au Fonds spécial de l'Union africaine pour la Somalie et 0,5 million de dollars américains au Fonds spécial de l'ONU», ajoute le texte. nEntretiens entre Abbas et le maréchal Tantaoui sur le processus de paix Le président de l'Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, s'est entretenu, hier au Caire, avec le maréchal Hussein Tantaoui, chef du Conseil suprême des forces armées (CSFA), l'instance dirigeante en Egypte. MM. Abbas et Tantaoui ont évoqué notamment lors de leurs entretiens les derniers développements sur la scène internationale et les efforts de paix au Proche-Orient. Ces entretiens se sont déroulés en présence de Saëb Arekat, membre du comité exécutif de l'OLP, de Nabil Abou Roudeina, porte-parole du président palestinien, et de hauts responsables militaires égyptiens. nLe FMI préconise l'ajustement budgétaire pour l'économie mondiale Le FMI a indiqué hier que l'ajustement budgétaire sera, dans les années à venir, l'un des principaux facteurs structurant l'économie mondiale dans un contexte où les pays développés accusent de gros déficits budgétaires et dettes publiques. Dans son rapport publié en prévision de sa prochaine assemblée générale avec la Banque mondiale, le Fonds a expliqué que de nombreux pays avancés doivent réduire leur déficit budgétaire pour rétablir la viabilité de leurs finances publiques, alors que les pays émergents et en développement durcissent leur politique budgétaire pour retrouver des marges de manœuvre budgétaire et, dans certains cas, pour limiter les risques de surchauffe.