Je vous prie d'insérer la mise au point suivante, en réponse à l'interview que vous accordée Hafid Derradji et dans laquelle mon nom a été cité. Je vous confirme que nous nous sommes bien rencontrés pour dix minutes ou un quart d'heure chez notre ami Boualem Benoumechiara, la nuit du Mawlid Ennabaoui, le 8 mars 2009, alors que mon interview parue dans le journal Annahar date du 12 mars. Comment pouvais-je donc l'informer de quelque chose qui ne s'était pas encore produite ? Secundo, Derradji parle de rancune, je vous invite juste à aller demander aux employés de la Télévision algérienne pour savoir qui est le plus rancunier de nous deux ? Derradji dit que je l'évite. Je vous jure que c'est de la calomnie ! A la base, son lieu de travail et le mien sont différents et éloignés. Comment puis-je donc le rencontrer pour l'éviter ? Je lui demande seulement : si toi, tu rencontres tes propres collègues qui travaillent avec toi au même siège, ou alors tu les évites et ils t'évitent à leur tour ? Il connaît la réponse ? A travers votre journal, je lui dis : choisis le lieu et l'heure qui te conviennent et je suis prêt à te rencontrer pour n'importe quelle confrontation que tu désires, reproches, blâmes, révélations... Je finirai par lui dire aussi : pourquoi considères-tu que mon interview comme une attaque à ton endroit, alors que je n'ai fait qu'évoquer des vérités dont toi-même tu as été l'auteur ? On n'a que ce qu'on mérite. Madjid Boutamine