Alors que les joueurs et différents staffs se sont regroupés, hier, à l'hôtel Dar Diaf de Bouchaoui, la première séance d'entraînement a eu lieu en fin d'après-midi, à la forêt située pas loin de l'hôtel, où résideront les Verts jusqu'au 19 du mois en cours. En réalité, c'était une séance très légère à laquelle ont pris part cinq joueurs parmi les sept retenus. Il y avait les trois professionnels Hameur Bouazza, Adlène Guedioura et Mohamed Chalali, tandis que pour les locaux, on a noté la présence des deux défenseurs centraux, à savoir Djamel Benlamri et Essaïd Belkalem. Cette séance d'oxygénation s'est déroulée pendant une heure et dix minutes dans une très bonne ambiance. 17h00 : Départ de l'hôtel Dar Diaf vers Bouchaoui Après une sieste, rendez-vous a été donné aux joueurs à la réception, peu avant le début de la séance qui était prévue au départ à 17h. Toutefois, on a enregistré un léger retard, du moment le bus devant conduire les joueurs à la forêt de Bouchaoui a démarré à… 17h. Arrivée à la forêt cinq minutes plus tard Il a fallu cinq petites minutes pour que le bus arrive à destination. Les joueurs ont vite fait de prendre possession des lieux pour effectuer leur entraînement. Vahid Halilhodzic a opté pour endroit situé en plein milieu de la forêt, pour permettre aux joueurs de bien se concentrer sur leur travail, loin de la pression. Un dispositif de la Gendarmerie nationale mis en place Par ailleurs, ce qu'il faut noter aussi, c'est que le service de sécurité de la fédération a bien organisé les choses. Il y avait sur place un dispositif sécuritaire de la Gendarmerie nationale pour sécuriser les lieux, afin de mettre les joueurs dans de très bonnes conditions. Il est à signaler aussi que les agents de sécurité de la FAF étaient présents également. Un footing de 45 minutes suivi d'étirements Les cinq joueurs qui ont pris part à cette séance d'entraînement ont effectué un footing pendant une durée de 45 minutes. Par la suite, ils ont été soumis à des étirements et des exercices physiques, sous la houlette de Cyril Moine.