Le président kabyle, qui défend le plafonnement des salaires, atteste que dans son club aucun salaire n'est astronomiques : «Si la JSK se porte bien aujourd'hui sur le plan financier et que les joueurs sont tous réglés au dernier centime, c''est parce que nos salaires ne sont pas astronomiques, aucun joueur ne perçoit 3 millions de dinars, comme c'est le cas dans certains clubs.»