"Je suis toujours prêt à prendre ma place car je m'entraîne le plus normalement du monde." L'ailier gauche de la JSK, Chamseddine Nessakh, nous a fait savoir que l'équipe est prête pour enchaîner avec d'autres succès, à commencer par le match de ce samedi face à l'USMH. Tout d'abord, comment s'est déroulée la séance de reprise sans les internationaux ? C'est vrai, s'entraîner avec un effectif amoindri est difficile du moment que l'ambiance n'est pas la même, mais la séance s'est déroulée dans de bonnes conditions. C'est une victoire très importante que vous avez enregistrée face à Annaba, que pouvez-vous nous dire sur cette rencontre ? Après le nul que nous avons enregistré le mardi d'avant à Oran, nous étions dans l'obligation de renouer avec la victoire, donc nous avons entamé la partie avec pour seule envie de vaincre. Dieu merci, on a obtenu les trois points qui nous motivent davantage. Que pouvez-vous nous dire sur cette prochaine rencontre qui vous attend à El Harrach face à l'USMH ? Après notre dernière victoire à domicile face à l'USMAn, nous sommes obligés de revenir en force en championnat en enchaînant avec d'autres résultats positifs. Je pense que la prochaine rencontre face à l'USMH sera celle de la confirmation pour nous. Vous avez obtenu un point seulement lors de votre dernière sortie à Oran, allez-vous répéter le même scénario ou bien songez-vous à revenir à Tizi avec les trois points ? Nul doute que la rencontre contre l'USMH est très difficile du moment que les Harrachis se trouvent en super forme. Cela veut dire que notre mission sera délicate. Toutefois, nous allons faire de notre mieux pour enregistrer un bon résultat. Comme vous savez, si on veut jouer pour le titre de champion, on doit obligatoirement ramener des points en déplacement. Vous n'avez pas joué face à l'USMAn, êtes-vous prêt à reprendre votre place ce samedi ? Ecoutez, je suis toujours prêt à prendre ma place car je m'entraîne le plus normalement du monde. A chaque fois que l'entraîneur me fera signe, je répondrai présent. Seulement, le dernier mot lui revient.