Le nouveau comité installé par les membres de l'assemblée générale lors de sa dernière réunion est en train de tenter de remettre, ce qui peut l'être, sur rails. Le nouveau comité installé par les membres de l'assemblée générale lors de sa dernière réunion est en train de tenter de remettre, ce qui peut l'être, sur rails. Des contraintes de tout ordre existent et cela freine les initiatives. Le problème financier, la position ambiguë de Mazar, l'incapacité de prendre possession du cercle, et l'impossibilité d'avoir accès aux documents du club et autres contrats des joueurs sont les problèmes majeurs qui doivent d'être résolus dans les meilleurs délais. De plus tant que les tâches de chaque membre ne sont pas encore délimitées l'on assiste à un travail approximatif qui nous rappelle étrangement celui des saisons passées. Absent depuis quelques jours, le nouveau boss Ounis est censé prendre réellement les choses en main et aussi de passer à la vitesse supérieure. Ce n'est pas le fait que certains membres avancent des noms d'éléments nouveaux à recruter qui va donner satisfaction à des supporters, pour l'heure, dans l'expectative. Le moment est au concret afin d'aspirer a remettre sur rails le club et lui donner l'occasion de connaître une stabilité et une sérénité indispensables pour la réussite de l'objectif qui est l'accession parmi l'élite. Les timides opérations prises pour l'heure sont loin de permettre à l'optimisme de s'installer dans les rangs du club de la ville des Ponts. C'est Arama qui traite avec les nouveaux De par sa carrière sportive en tant que joueur, Arama a été chargé par le président Ounis de prendre en charge le volet effectif. C'est ce qui l'a poussé à recevoir certains anciens avec qui il a eu à expliquer les opérations à venir. Selon une source proche de la nouvelle administration, ce dernier jouit d'une excellente réputation dans le milieu des joueurs et serait en mesure de convaincre beaucoup d'éléments à intégrer le CSC. Pour peu que les moyens financiers suivent car aucun joueur de valeur n'est prêt à faire trop de concessions. On en saura un peu plus dans les jours à venir ou du moins dès le retour de Ounis à Constantine. Tahar AGGOUNE