Quelle horreur d'entendre un Algérien répondre à un journaliste étranger en descendant ses compatriotes ! ... Quelle horreur d'entendre un Algérien répondre à un journaliste étranger en descendant ses compatriotes ! Hier, c'était le tour de Rafik Djebbour de nous vomir sur le dos, en confiant de manière dédaigneuse à un certain Alexis Billebault de Jeune Afrique qui lui demandait s'il ne s'inquiétait pas pour son avenir avec les Verts. «C'est toujours comme ça en Algérie. Si le sélectionneur ne vous appelle pas pour un match, soit vous êtes nul, soit il ne veut plus de vous !» Il faut s'appeler Le Pen pour trouver une réponse plus pourrie que ça. C'est toujours comme ça en Algérie… Pfff. Genre, ce sont de pauvres blédards, incapables de comprendre les gens civilisés comme vous et moi qui vivons en Europe. Non content de ses salissures, Djebbour ajoutera une couche en tirant sur le pauvre Saâdane, tout en versant dans un léchage de botte pitoyable à l'égard de Vahid Halilhodzic. «Il a travaillé en Europe, et cela se voit», a-t-il dit pour partager joyeusement sa complicité avec l'Européen. Comme j'ai tous les défauts des Algériens, j'ai donc fait appel à ma fierté excessive en allant fouiner dans le passé du même Djebbour dans les colonnes du Buteur. Savez-vous ce qu'il disait de Saâdane quand le Cheikh était «debout» ? «Saâdane a réussi là où beaucoup d'autres avaient échoué.» Et de Benchikha ? «Il a révolutionné l'EN !» En fait, ce mec ne tire que sur les ambulances. Vous voyez pourquoi certains «zémégrés» m'énervent ?