«Pour moi, le transfert tient toujours» Il semblerait que le transfert d'Izu Azuka à Hassanya d'Agadir tient toujours. Le vœu formulé des dirigeants de ce club de faire subir des tests au joueur n'a, a priori, rien remis en cause. Le Nigérian, qui a eu une discussion avec son président lundi soir, est, selon une source sûre, prêt à consentir cet effort. D'autant qu'une source autorisée de la direction de Hassanya d'Agadir nous a affirmé hier au téléphone que le club tenait toujours à faire signer le Nigérian. Ce qui dément, si besoin est, l'hypothèse d'une soi-disant piste abandonnée. Selon toujours notre source, Izu Azuka n'attendrait que le renouvellement de son visa d'entrée au Maroc pour rallier la ville d'Agadir. Ce qui devrait se faire incessamment. «La direction du club a saisi par écrit le consulat du Maroc à Alger pour faciliter la procédure», nous a confié notre source. En attendant, Izu Azuka continue de s'entraîner avec le groupe. Son nom n'a pas été inclus sur la liste des 25 joueurs déposée à la Ligue. Autrement dit, le Nigérian n'est pas qualifié. Ce qui signifie qu'il a tout à gagner dans ce transfert à Agadir. Par ailleurs, notre source nous a appris que Hassanya d'Agadir a tenu hier son assemblée générale, d'où le retard accusé dans le dossier Azuka. Lyes A. «Pour moi, le transfert tient toujours» Izu Azuka dit toujours tenir à son transfert à Hassanya d'Agadir. Il nous en parle dans l'entretien qui suit. Où en êtes-vous avec votre transfert à Hassanya d'Agadir ? C'est le statu quo pour le moment. Je dis ça, car les choses n'ont pas bougé d'un iota par rapport à la dernière fois. J'attends, autrement dit, toujours d'être fixé. Vous vous êtes entretenu avec votre président hier soir, (entretien réalisé hier, ndlr). Que vous êtes-vous dits ? C'est entre lui et moi. Je n'ai pas envie de répéter ce qui a été dit entre nous. Tout ce que je peux vous dire, c'est qu'on a fait le point sur la situation. Dites-nous au moins si votre transfert tient toujours ? Oui, assurément. Du moins jusqu'à preuve du contraire. Après, c'est à eux de voir. De notre côté, on a donné notre OK. Je ne suis pas au courant de l'évolution de l'affaire, mais pour moi, ça tient toujours. Vous êtes donc prêt à subir des essais… S'il le faut. Je pense avoir déjà démontré ce que je vaux. Ils sont venus me superviser à deux reprises. Maintenant, s'ils veulent conforter leur choix, il n'y a pas de souci. Je sais ce que je vaux. Quand est-ce que vous partez ? Je ne le sais pas encore. J'attends qu'on me fasse signe. Peut-être ces jours-ci, on verra bien. Entretien réalisé par Lyes A.