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Halilhodzic : «Mon père m'avait pris pour un voleur lorsque je lui avais montré mon premier salaire de footballeur»
Publié dans Le Buteur le 24 - 06 - 2013

Sa relation avec les médias «Je n'aime pas trop me montrer sur les plateaux de TV»
Invité de l'émission «C'est Son Show», diffusée sur Canal Algérie, l'entraîneur national, Vahid Halilhodzic, s'est lâché pour la première fois sur certains sujets relatifs à sa vie privée et son quotidien en dehors du football. Vahid, visiblement très touché, avait les larmes aux yeux lorsqu'il avait été invité à parler de sa maman. Il a aussi évoqué des souvenirs douloureux, tels que la guerre civile en Yougoslavie qui avait ébranlé la Bosnie, et ses passages non réussis en Equipe nationale de l'ex-Yougoslavie.
Sa relation avec les médias
«Je n'aime pas trop me montrer sur les plateaux de TV»
«Je n'aime pas m'afficher sur les plateaux de télévision. En France, lorsque j'étais entraîneur du PSG, j'étais très populaire. On m'invitait partout, mais je déclinais à chaque fois l'invitation, pour la simple raison que je ne veux pas être dérangé. J'aime rester appliqué sur mon boulot. Parfois, lorsqu'on répond trop à ces invitations du show-biz, on perd sa concentration.»
«Si je communique encore plus avec la presse, j'aurai de gros problèmes»
«Lorsqu'on est entraîneur d'une équipe comme l'Algérie, on a une certaine obligation envers la presse. Les gens aiment bien avoir des nouvelles de leur sélection. Au départ, j'étais un peu déçu, parce que je voulais instaurer un vrai dialogue avec les médias. Malheureusement, ça a tourné à la polémique. En Algérie, on préfère les gros titres, et comme je ne suis pas quelqu'un qui utilise la langue de bois, parfois, ça me crée de petits problèmes. Si je communique plus, j'aurai encore de gros problèmes. C'est pour cela que certains médias n'apprécient pas mon comportement avec eux, mais qu'ils comprennent que j'ai des engagements et des obligations. Je ne suis pas un salarié des médias, c'est la FAF qui me paie. Je suis disponible avant et après les matches pour exprimer mes pensées.»
«Je n'apprécie pas les critiques gratuites»
«Je suis une personnalité publique. Ainsi, les passionnés du football vous critiquent et vous reprochent un tas de choses, mais ce qui m'a fait mal, c'est les critiques gratuites. Je n'apprécie pas ça. Je déteste qu'on me compare à un militaire, à un colonel ou je ne sais quoi d'autre. Ça me fait rappeler la guerre. Je sais aussi que l'entraîneur, tout comme le Premier ministre, sont des sujets soumis à la critique.»
Comment il est devenu joueur professionnel
«Lorsque j'étais jeune, je voulais devenir un ingénieur en électricité»
«A l'école, j'étais un bon élève. Quand j'étais jeune, je pensais aller au bout de mes études et décrocher un diplôme d'ingénieur en électricité, parce que, pas très de loin de la ville où je suis né, à Jablanica, il y avait deux ou trois barrages électriques, et la plupart des gens qui habitaient cette ville travaillaient dans l'un de ces trois barrages. J'étais aussi très attiré par cette idée de travailler un jour dans ce domaine-là.»
«Je n'ai jamais pensé devenir footballeur»
«Par la suite, je suis parti à Mostar pour terminer mes études ; j'aimais beaucoup la musique, je jouais beaucoup au football, mais je n'ai jamais pensé devenir footballeur professionnel. Ce n'est qu'à 16 ans qu'un dirigeant du club de la ville de Mostar, une équipe de l'ex-Yougoslavie, m'avait invité à prendre part à une séance d'entraînement avec les juniors. Il y avait aussi mes camarades de classe qui pratiquaient le football et ils m'invitaient souvent à jouer avec eux. Et après avoir intégré cette équipe, c'est là que j'ai laissé les études de côté pour poursuivre une carrière de footballeur.»
«Lorsque j'avais abandonné les études, mes parents n'étaient pas contents, surtout ma mère»
«Après avoir abandonné les études, mes parents n'étaient pas contents du tout. Surtout ma mère. Donc, à 18 ans, je devais choisir entre le football et mes études. J'ai signé mon premier contrat professionnel à Velez Mostar. C'est un club très populaire qui pratiquait un jeu très offensif et merveilleux. A présent, je ne pense pas regretter mon choix, même si au fond de moi, un sentiment de regret vis-à-vis de ma mère me prenait, laquelle voulait me voir terminer mes études et devenir ingénieur en électricité. Mais bon, on ne peut pas tout faire dans la vie.»
«Voilà comment je suis devenu footballeur professionnel»
«Ma mère ne savait pas que le football était un vrai métier. Je me souviens, quand j'ai montré mon premier salaire à mon père, celui-ci ne m'a pas cru que je l'avais gagné au football. Il croyait que je l'avais volé. Il ne pouvait imaginer qu'en jouant au football, on pouvait gagner autant de sous. Je lu ai expliqué qu'on pouvait gagner sa vie en jouant au ballon, c'est comme ça que je suis devenu professionnel.»
Sa carrière internationale avec l'ex-Yougoslavie
«Mon passage en sélection de Yougoslavie reste un très mauvais souvenir»
«Mon passage en sélection de Yougoslavie reste un mauvais souvenir. C'est quelque chose qui me fait mal. Pendant neuf ou dix ans, j'étais toujours convoqué et présent avec le groupe des joueurs sélectionnés, mais en tant que remplaçant à chaque fois. J'ai vécu très mal cette période de l'Equipe nationale.»
«J'ai mal digéré ma mise à l'écart»
«J'ai été élu meilleur joueur de l'ex-Yougoslavie, j'ai même été désigné meilleur Espoirs et meilleur buteur de la Coupe d'Europe des U23, mais malgré cela, je n'ai jamais pu prétendre à une place de titulaire en équipe première de l'ex-Yougoslavie. J'ai vécu cela très mal.»
«Je ne jouais pas, à cause peut-être de ma religion»
«Les raisons sont toutes simples, j'évoluais dans un petit club, et comme il y avait de très grands joueurs de Belgrade et Zagreb, cela m'a coûté ma place. Il y a aussi peut-être le fait que j'étais musulman, parce qu'après avoir vécu cette terrible guerre civile, je peux penser à cette raison. En tout cas, je n'ai jamais compris ma mise sur le banc, alors que j'étais le meilleur joueur du pays.»
«Le Mondial 82, la plus grosse frustration de ma carrière internationale»
«J'étais obligé de rester jusqu'a 29 ans pour pouvoir rallier la France. Malgré cela, lors de la Coupe du monde 82, je me suis retrouvé sur le banc. J'avais du mal à avaler cela, c'était la plus grosse frustration de ma carrière internationale, parce que j'étais le meilleur buteur de notre championnat. C'est de très mauvais souvenirs. En club, j'ai connu beaucoup de succès, mais en sélection, ce n'était pas comme je le voulais.»
Sa relation avec le président Raouraoua
«Raouraoua m'a contacté le soir même de mon départ du Dynamo Zagreb»
«Raouraoua m'a contacté le soir même de mon départ de Dynamo Zagreb, en me disant : «Alors ça y est, tu es libre ?» Après, on s'est rencontrés à Paris et on a conclu rapidement notre discussion, parce qu'on était déjà en contact depuis quelque temps déjà».
«Il m'a offert le film ‘'La Bataille d'Alger''»
«Le président était très correct avec moi, dès le début. Je le dis encore une fois, Raouraoua a su comment me convaincre, notamment après la CAN, c'est lui qui m'a encouragé de continuer, parce que je songeais vraiment à partir. Il m'a offert le film ‘'La Bataille d'Alger'' pour apprendre à mieux connaître l'Algérie».
Sa vie avec ses joueurs
«Le star-système ne me dérange pas»
«Non, le star système ne me dérange pas. Aujourd'hui, c'est un petit peu ça qui marche. Les footballeurs gagnent assez d'argent. C'est des stars, ils se permettent beaucoup de choses, donc, il faut faire avec.»
«Je ne veux qu'on tombe dans les mêmes erreurs d'avant-CAN»
«Après notre qualification avec brio à la CAN, un sentiment d'euphorie est né dans mon groupe. Et malgré mes mises en garde, tout le monde a vu comment on est passés à côté. Bon, j'ai pris tout sur mon dos, mais maintenant dans ces qualifications pour la CM 2014, je ne veux qu'on répète les mêmes erreurs d'avant-CAN. Donc, pour les motiver à aller au Brésil, j'ai dit à mes joueurs que si vous ne disputez pas une phase de Coupe du monde ou une Ligue des champions, c'est comme si vous n'avez rien réalisé dans votre carrière.»
«J'ai dit à mes joueurs : continuer à gagner, je vous adore comme ça»
«Je respecte mon métier qui m'a donné pas mal de choses. Mais cela ne m'empêche pas de rigoler. Je chambre mes joueurs parfois. Je plaisante avec eux. J'ai dit à mes joueurs : ‘'Continuer à gagner, je vous adore comme ça !'' Je leur dit souvent qu'il vaut mieux avoir du talent dans les jambes que dans la tête, parce que ça paie mieux.»
Ses goûts musicaux
«A 16 ans, je rêvais de devenir un grand musicien»
«C'est vrai, c'était un rêve pour moi de devenir un jour musicien. Lorsque j'avais 16 ans, j'avais un copain qui jouait bien la guitare. On avait même réussi à monter un groupe. On a énormément travaillé pendant 6 mois pour réaliser quelques chansons. Mais un jour, un dimanche, je me rappelle bien, on devait passer en scène, et c'est là qu'une corde de ma guitare a cédé, j'ai tout jeté en renonçant à la musique.»
«Lorsque j'étais jeune, j'imitais Jimmy Page ou Keith Richards»
«Je suis un fan de la musique. Je connais tous les groupes de chanteurs. A mon époque, j'aimais beaucoup Jimmy Page, j'aimais trop l'imiter dans son jeu de guitare. C'est un peu vieux, mais c'était ma belle époque.».
«J'aime bien écouter Céline Dion, Mariah Carey, les Rolling Stones ou The Animals»
«A présent, il y a de grandes stars de la musique. J'aime bien écouter Céline Dion ou Mariah Carey. C'est des artistes que j'apprécie beaucoup. La musique a beaucoup d'influence sur ma personne. J'aime aussi écouter les Rolling Stones, The Animals. Après, il y en a d'autres comme Michael Jackson, un phénomène.»
Son expérience en France
«En France, on a donné de moi une mauvaise image»
«Vahid est quelqu'un de simple, agréable à vivre, mais lorsqu'il s'agit du travail, je ne pardonne à personne. En dehors du terrain, il n'y a pas de problèmes, je suis très cool avec mes joueurs. En France, on m'a traité de militaire, de rigide, et cela m'a fait mal.»
«Mon personnage dans les Guignols m'a fait plus de mal que de bien»
«Mon personnage dans les Guignols a catalogué mon image dans une rubrique qui n'est pas la mienne. Je suis exigeant avec mes collaborateurs et mes joueurs, c'est le prix de la victoire. J'adore gagner. Je suis comme ça.»
«Dois-je faire le guignol pour plaire à tout le monde ?»
«Sur un terrain de football, je ne rigole pas, parce que je suis concentré à fond sur mon travail. Dois-je faire le guignol pour plaire à tout le monde ? La vie m'a gâté jusqu'à 41 ans, mais après la guerre, je devais repartir à zéro. Donc, la vie m'a appris à respecter ce que je fais comme boulot. C'est l'école de la vie qui m'a appris cela. Parfois, je m'emporte contre mes joueurs, mais je sais aussi être cool avec eux.»
«Être moyen ne m'intéresse pas»
«Je ne suis pas maniaque ou quelque chose de ce genre, moi, j'aime gagner. Je ne veux pas être moyen, ça ne m'intéresse pas. Je veux être soit en haut, soit en bas. J'aime inculquer cela à mes joueurs.»
Ce qu'il connaît de l'Algérie et des Algériens
«Vous avez une bonne gastronomie et j'aime bien le couscous»
«J'aime bien le couscous, vous avez une bonne gastronomie. J'habite à Lille et je connais beaucoup d'Algériens. Donc, je connais beaucoup de choses de ce pays. Sinon, à Alger, je suis souvent à Sidi Moussa.»
«Je voudrais bien passer 3 ou 4 nuits dans le désert algérien»
«Je veux aller passer trois ou quatre nuits au Sahara ; j'ai programmé une visite dans cette région. On m'a dit beaucoup de belles choses sur cette région. L'Algérie est un pays chaleureux, c'est un très beau pays.»
«Les Algériens sont plus nombreux que les Chinois»
«Là où j'ai entraîné ou joué en France, je rencontrais assez d'Algériens. J'ai pas mal de copains. J'ai même travaillé au PSG avec des Algériens. Je leur dit que vous êtes plus nombreux que les Chinois.»
Ses aventures humaines
«L'UNICEF a fait appel à moi pour des causes humanitaires»
«Je reste un grand humaniste, je suis fier de tout ce que j'ai fait pendant la guerre, j'ai sauvé des milliers de vies. L'UNICEF a fait appel à moi, j'étais chargé d'héberger les jeunes et les enfants. Je n'aime pas parler de ça. Sincèrement, j'ai mis ma vie en danger et je ne sais pas comment je suis toujours en vie.»
«On a tourné un film sur moi et écrit trois livres, mais je n'en ai lu aucun»
«On a publié trois livres sur ma personne et réalisé un film, mais je n'en ai lu aucun. Un Bosniaque qui vivait à Monaco m'a demandé de tourner un film sur moi, j'ai accepté, mais je ne vou­­­lais pas trop m'attarder avec lui, parce que j'avais des obligations. Je ne lis pas ces livres, car je sais qu'on a dit beaucoup de choses sur moi et qui ne sont pas vraies.»
Il a dit aussi
«Je fais trop confiance aux gens. On dit que je suis malin, mais j'étais souvent déçu par rapport à cela»
«Je pardonne aux gens qui me font mal, mais avec ceux qui me touchent profondément, je deviens très méchant»
«Je suis très fier de ce que je fais pour ma famille. Je ne suis jamais content, je veux réaliser encore plus. C'est comme dans le foot, c'est cette raison qui me pousse à travailler davantage»
«Quand je suis triste, je ne parle à personne. J'ai besoin même de m'isoler pour évacuer cela»
«Je suis nostalgique sur beaucoup de choses. Mon pays, mes moments de jeunesse, cela ne s'oublie pas»
«Ça m'arrive de pleurer, même souvent, je suis un être humain»
«La disparition de ma mère est le moment le plus pénible de ma vie. Lorsque j'avais perdu mon fils, j'avais trop souffert aussi»
«Ce que je retiens de mon père, c'est son caractère. Il a sacrifié sa vie pour sa famille. C'est un exemple pour moi»
«Mon plus grand objectif, c'est de qualifier l'Algérie à la prochaine Coupe du monde et faire plaisir au peuple algérien»
«Je ne veux pas aller au Brésil en touriste, mais avant cela, il faudra rester lucide pour se qualifier, incha Allah»


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