Yahia : «Il ne me reste plus qu'à battre Ziani et venir ensemble pour le Rwanda» Bochum respire enfin ! Le club allemand a réussi enfin à ramener des points de l'extérieur depuis le début de la saison de Bundesliga en s'imposant sur le terrain de Nuremberg (0-1), ce qui lui permet de s'extraire de la zone des relégables. Anthar Yahia, titularisé comme d'habitude au cœur de la défense de Bochum, a beaucoup contribué à la préservation du score. Yahia : «Il ne me reste plus qu'à battre Ziani et venir ensemble pour le Rwanda» C'est un Anthar Yahia heureux que nous avons eu hier au téléphone. Heureux de la victoire réalisée à l'extérieur, la première de la saison pour Bochum, mais aussi de sa prestation puisqu'il a été, de l'avis des observateurs et de la presse allemande, l'un des hommes de base du succès. «Vraiment, je suis très soulagé. C'est une victoire capitale pour nous car il nous fallait une victoire à l'extérieur pour nous remettre en confiance et nous permettre de redécoller. C'est vraiment bon pour le moral», nous a-t-il confié. «Certains de mes coéquipiers se sont libérés» Interrogé sur la réaction de l'équipe après le changement d'entraîneur, il a reconnu que «certains joueurs, qui avaient un blocage psychologique avec le précédent entraîneur, se sont montrés libérés durant ce match et cela se voyait», insistant toutefois sur le fait qu'en ce qui le concerne, «il n'y a eu aucun blocage depuis le début de la saison et j'ai joué comme je l'ai fait depuis le début du championnat». «Il me tient à cœur de battre Karim» Après avoir gagné à l'extérieur, il reste à Bochum à confirmer son résultat à domicile et ce sera samedi prochain face à… Wolfsburg. «Samedi prochain, il me tiendra à cœur de battre Karim Ziani», nous a-t-il déclaré en riant. «Le meilleur scénario est que je le batte et que nous venions ensemble le lendemain pour le match contre le Rwanda afin que je puisse bien le chambrer», a-t-il poursuivi. «En tout cas, je suis impatient de retrouver tous les Verts pour poursuivre l'aventure», a-t-il conclu. F. A-S.