En fonction des impératifs du développement actuel du pays dans tous les secteurs, le " suivi " politique aborde en permanence une démarche et des solutions qui ont pour seuls repères la mise en ordre des affaires du pays en vue de répondre aux effets du présent et d'édifier une société plus juste et une économie de grande envergure, développée par la réalisation de divers programmes d'équipement et de production et s'opérant aujourd'hui dans les meilleures conditions au titre d'un rythme accéléré. L'Etat, disposant de sa véritable autonomie budgétaire et de son propre programme politique, s'attelle à "distraire" une partie de ses ressources à satisfaire aux aspirations des populations. La maîtrise des grands équipements économiques, les nouvelles mesures apportent à chaque exercice des aménagements affectant aussi bien la vie de la population que le poids de ce développement en général. Cette voie sera à coup sûr plus progressive au titre du programme quinquennal 2010/14. Ambition politique, adhésion et sentiment populaire favorables font désormais bon ménage avec les grands axes du programme présidentiel. C'est un fait, celui-ci, joue le vrai rôle d'instrument de justice sociale. Faut-il penser qu'il y a un fort optimisme dès lors que les moyens mis en œuvre par l'Etat sont la meilleure garantie de ses engagements à mener à terme cette politique. Il s'agit tout juste de remédier à certains niveaux aux lacunes, anomalies souvent mis à l'index par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika. A travers ces arguments, tout est encourageant, tout est prometteur. Au mieux, il y a là matière à une audace, sujet éternellement d'actualité et qui requiert force et ambition dont le programme politique est "prodigue", sûr et sa réalité peut dépasser les plus grandes incompréhensions, les plus douteuses. Il y a donc tout un "contenu", une "origine" perceptible et une technique de développement aux atouts divers.