Le processus du développement durable plaide pour la consolidation des mutations et des transformations engagées en excellence afin de préconiser une économie plus stimulante et de promouvoir des formes originales qui permettront au pays de faire un élan par étape et surtout de jouir d'une croissance soutenue. Déjà, si l'on tient compte des premières directives du président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika à l'entame des auditions annuelles sur les différentes activités des départements ministériels, il est question avant tout de relever tous les défis auxquels le pays est confronté, des priorités sont à mettre en place ainsi que des orientations pour guider à bon escient le développement économique, social et culturel axé sur le renforcement et la consolidation d'une économie libérale astreinte à une évolution satisfaisante et prometteuse et, dans le même temps, produire des répercussions positives sur la sphère sociale, l'augmentation du chapitre de la fiscalité, et, en d'autres termes, il s'agit maintenant de s'impliquer dans un civisme patriotique tel que le stipule le sens aigu des orientations du chef de l'Etat afin de gagner l'indispensable bataille de ce développement plus que jamais cruciale. Ces mesures d'orientation économiques cohérentes visent à relever la cohésion nationale et à conquérir une hiérarchie plus grande dans la détermination à demeurer dans cette voie pour relever les multiples défis qui se posent à la société algérienne et circonscrire toutes les éventuelles " lacunes " d'ombre qui pourraient pointer à l'horizon. Conduire ce développement harmonieux initié par le président Bouteflika et "légalisé" par l'écrasante majorité des Algériens afin de renforcer les capacités du pays, et permettre l'instauration d'une efficacité sur tous les plans, reconstruire et créer les infrastructures socioéconomiques et culturelles et enfin sortir le pays de l'après-pétrole, tels seraient entre autres, les axes de travail prioritaires pour le gouvernement et la société civile dans la phase présente. En tout cas, il est encore trop tôt pour se prononcer sur ce que sera le pays à l'horizon 2014, ou tout le moins dans les prochains mois, une seule certitude émerge parmi toutes les autres. Elle se cristallise autour de la valeur du programme politique de haute visibilité publique réactive, transparente et responsable. Aussi, l'agenda du programme présidentiel offre les meilleures garanties, les meilleures méthodes d'action et des normes supérieures de responsabilité à tous les niveaux pour relever les capacités du pays. C'est dire que les réunions restreintes d'évaluation de chaque secteur font dans le renforcement de ce processus de réforme politique globale en cours, mais aussi à rehausser toutes les opportunités de développement, de croissance et d'épanouissement comme pratique juste et légitime pour favoriser la prise de décision en ce qui concerne l'amplification d'un progrès significatif et sa mise en vigueur stricte visant tout en consensus susceptible d'aborder de telles mesures de bien-être. Dans ce monde plein d'incertitudes, il est reconnu que l'Algérie en favorisant la dimension de promouvoir les ressources humaines, "un pari pour l'avenir", l'exigence d'une morale publique, " un grand défi à relever " et d'apprendre à compter d'abord sur ses propres ressources, repense son développement durable et sa stabilité pour rééquilibrer tous les mécanismes économiques, sociaux et culturels. L'actualité présente au plus haut niveau de l'Etat constitue l'une de ces évidences, car nul ne peut réfuter cette croissante détermination à conjurer toutes les difficultés par des actions concrètes qui répondent à la volonté du peuple, surtout à celle des catégories sociales les plus défavorisées. Les acquis, qui se sont succédé au cours de ces dernières années sont bien connus sur le terrain. Tous ont eu des impacts favorables parce que les aspirations du citoyen ont coïncidé avec les objectifs déclarés et clairement définis par le programme présidentiel. A la mesure de cette stratégie, la responsabilité de tous devra être "écrasante". D'abord parce que les engagements contractés au lendemain d'avril 1999 sont respectés. Ensuite parce que, sur le terrain, tout se passe avec l'aval du peuple. L'Etat manifeste une offensive reconnue et concevable donc le devoir de faire respecter l'intégration confondue. Cela tous les observateurs honnêtes le reconnaissent. Tout le monde le sait. Et le peuple algérien mieux que quiconque.