La cohésion nationale, une des caractéristiques du programme présidentiel, se crédibilise au fil du mécanismes mis en place et s'instaure en force. Les instruments palpables et plus appropriés mis au service de l'incarnation de cette démarche "grandissent" avec une bonne dose politique, tout en pratiquant la solidarité nationale sans faille prescrite dans le programme en question. Une convergence qui apparaît en public. Elle permet de penser que cette cohésion est à même de développer, très classiquement, une mobilisation à égale distance d'une réflexion à la fois comme caution et soutien pour oser l'avenir et donner satisfaction à la demande populaire. Engagée avec plus de conviction et de vérité sur le terrain, cette accumulation d'actions constitue un plan politique considérable. Il prouve la viabilité des changements engagés. La cohésion nationale dont il est question est, en effet, l'un des éléments majeurs des grands axes du programme présidentiel et l'un des fondements de la vie socio-économique et démocratique. Un modèle qui vise à instaurer la maîtrise perceptible des évolutions économiques et sociales. Et, apparemment, l'action est bien choisie et ciblée pour "retendre" tout le tissu de cette confiance autour de ce nouveau type de la vie collective, perçue dès lors très positivement au sein de la société et de tous les autres partenaires de l'Etat. Cette démarche nullement contestée procède d'un engagement voulu pour répondre à l'impatience des citoyens tout en mettant à la disposition des pouvoirs publics les moyens et le temps de conclure. C'est pourquoi, le chef de l'Etat invite à chaque occasion tout le monde à être plus opérationnel au service de cet objectif dans le plus grand respect des préoccupations des populations. En clair, plus cette mobilisation se propage, plus elle guide vers de riches et dynamiques résultats concrets sur tous les plans. C'est vrai, la cohésion nationale est aujourd'hui une réalité tellement bien programmée et inscrite comme "majeure" afin d'atteindre la mentalité collective, qu'elle montre que les choses changent en Algérie. Dans cet esprit tout est mis en œuvre par l'Etat à travers de nouveaux mécanismes et de nouvelles formules qui tiennent compte des meilleures options économiques et sociales et surtout permettre de libérer l'imagination, l'innovation et les énergies. Et sur ce point, l'expression des populations sur leurs conditions de vie devrait permettre aux pouvoirs publics d'apporter des réponses insoupçonnées à toues les questions. La vraie question, c'est qu'il y a une " ferme " responsabilité qui est engagée afin de ne laisser dans l'ombre aucun problème qui touche aux citoyens. Ainsi, de part et d'autre, on trouve bien au cœur de la politique nationale de développement, cette réponse à être à l'écoute des doléances des populations. Le souci exprimé laisse donc présager que cette attention particulière sera portée à plus d'accomplissement du progrès. Ce développement cadré désormais afin d'éclairer l'avenir de la Nation en "traînant" la prudence qui s'impose afin d'explorer les voies du futur, constitue un grand pas vers l'harmonie sociale, dès lors solidement ancrée. En récupérant la confiance de ses partenaires étrangers, l'Algérie en une décennie à réussi dans ses efforts internes à maintenir le cap des réformes, accrue la transparence des finances publiques, mis en actualité et à l'ordre du jour les défis et investi des secteurs clés. Les dépenses publiques engagées dans les différents programmes de redressement économique ont remis le pays sur la bonne voie, après une longue période de turbulences singulièrement tumultueuses dans les années 90. Le climat présent fondé sur des bases politiques solides "émaillé" par divers événements favorables, permet au pays de marquer plus de points performants dans tous les domaines, il est beaucoup plus question de valorisation et d'application d'une judicieuse politique cohérente engagée sur plusieurs réformes de grande portée structurante.