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" Eradiquer certains procédés résiduels qui ont entaché les structures publiques, voire l'image des institutions de l'Etat et de leurs missions " (Abdelaziz Bouteflika)
Le vent du changement qui souffle sur l'Algérie est un fait politique nationale dont tout le monde devrait en être conscient et d'en tenir compte dans toutes les actions le consolidant. Il s'agit d'apprendre à se prendre en charge avec plus de profondeur, en dehors et contre les égoïsmes politiciens qui se font jour. L'âme de la nouvelle donne démontre clairement et politiquement valable qu'il appartient au peuple de faire ce temps nouveau et non pas des acteurs occasionnels en tous genres au service d'une actualité du jour. A ce propos, le président Abdelaziz Bouteflika vient de donner une nouvelle orientation à cette étape : " Eradiquer certains procédés résiduels qui ont entaché les structures publiques, voire l'image des institutions de l'Etat et de leurs missions ". L'analyse prospective de la valeur démocratique en phase ouvre tous les horizons du réalisable sur un vaste terrain institutionnel. cette ouverture à grande échelle est en train de battre tous les records en création rapide de partis politiques. Même, si cela explique la présence d'une hauteur politique pluraliste, la pléthore de ces nouveaux partis rend invisible un certain concept. La volonté démocratique à l'intérieur de divers partis peine à exister. De l'avis de nombre d'observateurs ;, très peu de nouveaux venus sur l'arène politique ont osé aller si loin dans leur " bulletin de naissance ". Ils se sont suffit de l'inscrire à l'état civil politique " et rien d'autre. Ceux-ci, n'étant pas en possession d'un référentiel politique, tentent de réagir à l'aide de " couplets " qui ne sont plus neutres de tout reproche. Cela fait que l'opinion est en face d'un nouveau plateau partisan qui recèle dans son propre environnement des effets " toxiques " pour la démocratie. Pour décrire cette vérité en temps simples les intérêts du candidat à la députation commencent par se placer au premier échelon alors que ceux de la société sont bien loin. Le citoyen, sceptique, en sera peut-être toujours étonné devant ce " fonds " partisans spéculatif. Ce décollage vers la création de partis, ne peut donc être stoppé que par une nouvelle loi, mais faut-il dire que le pays est en pleine transition politique et démocratique. La détermination de " renouveler " comme on le constate est suffisamment exploitée avec l'accélération de " nouveaux nés ". Le relatif silence de ces derniers et bien d'autres sur leur programme est suspect et laisse croire que chacun craint d'être désapprouvé par l'opinion, voire par l'électorat. En tous les cas, le clair-obscur qui prévaut en ce moment sur la scène profite à tout sauf au peuple. L'ampleur du " marché " démocratique constitue une opportunité qu'il faudrait exploiter à bon escient pour relever la compétence politique. Une réflexion très avancée en vue de s'adapter aux aspirations du peuple. Cela constitue également à n'en point en douter un principe porteur d'espoir. Un espoir convient-il, de rappeler, qui ne peutêtre bien négocié qu'avec la crédibilité des acteurs appelés à s'animer d'intégrité politique irréprochable. Le processus de refondation politique en cours, dont l'objectif affiché est de stimuler la démocratie, de sauvegarder les acquis de la République et d'atteindre un nouveau cap en termes d'Etat de droit, s'offre à tout le monde pour jouer un rôle central et de rendre " attractive " ce processus. Dans ce contexte, le débat sur l'opportunité accordée par la loi pour la création de nouveaux partis politiques bat son plein, notamment que l'opinion est mal préparée. L'implication de ces formations dans le processus électoral n'est pour l'instant qu'une activité restreinte. Ici, il est difficile d'avoir une réelle vérification sur les structures pyramidales internes à ces formations ni sur les effectifs militants.