Les nombreuses corrélations du moment prouvent que les variantes de l'économie nationale ont pour objectif de répercuter plus les instruments de consolidation du climat social et à trouver les meilleurs mécanismes permettant une grande fluctuation du marché du travail dans le cadre d'une implication forte des secteurs public et privé. Dans ce domaine, le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale réaffirme que le traitement de la question de l'emploi s'appuie sur une approche économique à travers des mécanismes permettant la création d'emplois à même de maintenir la tendance à la baisse du niveau du chômage, tout en préservant l'emploi existant. La flexibilité de ces mécanismes a été jusqu'à présent une réussite: le taux de chômage a été réduit jusqu'à atteindre 9 %. C'est le résultat d'une politique nationale de développement. Cela se prouve au quotidien par l'amélioration du taux annuel de croissance économique hors hydrocarbures visant la poursuite des programmes publics d'investissements et la promotion d'une économie créatrice de richesses et d'emplois. La hausse de ces programmes d'investissement s'en est suivie qualitativement par l'apport d'une meilleure valorisation de l'emploi, d'autant plus que l'accent a été mis sur la préservation de la force de travail déjà existante. L'emploi demeure une préoccupation constante du gouvernement. Loin d'être un discours politique, la promotion de l'emploi et de la richesse constituent un axe central et une feuille de route que se partagent les pouvoirs publics et les secteurs public et privé en vue de la consolidation continue d'une jeunesse d'espérance. Les initiatives prises pour faire face aux défis liés à l'emploi, au développement économique et social touchent à plusieurs domaines contenus dans l'agenda du plan d'action du gouvernement. L'emploi a été au cœur des préoccupations du programme quinquennal 2010-14 avec, notamment, la mise en œuvre de programmes ambitieux de création d'emplois et de résorption du chômage, avec la contribution des partenaires au développement au titre de la croissance créatrice de postes de travail, l'investissement productif et la multiplication des PME. La promotion de la formation professionnelle liée à ce développement a été une autre préoccupation visant à promouvoir et à adapter l'apprentissage aux métiers dont a besoin l'économie nationale. Il est clair que l'on est face à l'émergence d'un marché de travail diversifié. Cela implique une mobilisation énergétique de tous les partenaires en faveur de la création de nouveaux postes de travail, et en particulier à destination des jeunes arrivant sur le marché du travail.