M. Belaribi Abdelmalek, cadre dirigeant à la SAA,était hier l'invité de radio forum El bahdja ou il évoque le parcours de la SAA dans les différentes branches . M Belaribi a évoqué l'assurance des catastrophe naturelles dont sa compagnie a fin 2007 a couvert 200 000 habitations et commerce d'un chiffre global de 500 000 donc la SAA a acquis 50% de part du marché de l'assurance CAT NAT . L'objectif de ce nouveau dispositif, a-t-il expliqué, consiste à la fois à alléger les dépenses de l'Etat en cas de survenance de calamités naturelles et à inciter les assurés à contribuer aux efforts de prévention contre ce type de risques. L'obligation de la souscription d'une police d'assurance des effets des catastrophes naturelles se fait annuellement. L'assuré pourra contracter une police séparée, ou annexer la garantie contre les effets des catastrophes naturelles à une police de base Cependant, en Algérie, l'assurance des personnes ne représente que près de 6% de l'activité des assurances et n'a pas significativement évolué au cours de ces trois dernières années puisque, durant 2004 et 2005, elle n'a pas dépassé les 5%. Cependant, en Algérie, l'assurance des personnes ne représente que près de 6% de l'activité des assurances et n'a pas significativement évolué au cours de ces trois dernières années puisque, durant 2004 et 2005, elle n'a pas dépassé les 5%.Il a ajouté que la concurrence à travers les prix constitue une menace pour la santé financière des entreprises M Belaribi a souligné aussi le manque, voire absence de communication et de vulgarisation des produits d'assurance offerts part les compagnies d'assurance Le representant de la SAA a évoqué aussi la convention IDA qui existe certes, mais sa mise en œuvre pose beaucoup de problèmes. Ce qui ne manque pas de causer des préjudices aux assurés puisque la convention en question prévoit une indemnisation rapide et directe de l'assuré par sa compagnie et s'il y a un problème de recours, il se fait entre les compagnies. Enfin dernière convention de la SAA avec la MACIF , sur la base duquel les deux partenaires comptent créer des structures de coopération et de développement sous forme de filiales communes en Algérie ou en France, établies sur la base d'un Business Plan". Ces filiales communes axeront leur activité sur l'assurance-vie et celle des personnes, notamment le rapatriement des corps, l'assistance et l'assurance voyage aussi bien à l'intérieur du pays qu'à l'étranger, l'assurance des véhicules en transit sur le territoire algérien et la commercialisation de produits d'assurance auprès des personnes particulièrement intéressées par le système de mutualité. Cela en plus de la création d'une école de formation ouverte à la SAA. La SAA ambitionne, à travers ce partenariat, d'améliorer la qualité de ses services qui s'articulent essentiellement autour de l'assurance des particuliers et de la famille, tandis que le groupe MACIF veut "mettre en œuvre sa politique de coopération et de développement à l'international avec un partenaire privilégié et reconnu en Algérie pour offrir localement des solutions aux assurés et à leur famille, alliant qualité, efficacité économique et respect de la personne et de l'intérêt général". La durée de ce protocole "est de trois ans renouvelable par tacite reconduction par période de trois années". Cette coopération, faut-il le rappeler, intervient un mois après la signature de la convention algéro-française dans le secteur des assurances, permettant l'entrée des compagnies françaises sur le marché national et la réalisation de partenariats avec des compagnies algériennes. La SAA emploie plus de 3.600 agents à travers son réseau composé de 460 agences. Cette compagnie publique d'assurance a procédé récemment à l'augmentation de son capital, qui est passé de 4,5 milliards de dinars à 16 milliards de dinars