Dans le cadre des célébrations du 34e anniversaire de la fondation de la RASD qui se tiendront le 27 février 2010 dans les campements sahraouis, il est annoncé l'organisation du 1er Forum international des observateurs et des personnes susceptibles de devenir observateurs civils ou juridiques aux procès des défenseurs sahraouis des droits de l'Homme au Maroc et au Sahara Occidental. Dans le cadre des célébrations du 34e anniversaire de la fondation de la RASD qui se tiendront le 27 février 2010 dans les campements sahraouis, il est annoncé l'organisation du 1er Forum international des observateurs et des personnes susceptibles de devenir observateurs civils ou juridiques aux procès des défenseurs sahraouis des droits de l'Homme au Maroc et au Sahara Occidental. Les dates prévues pour la tenue de ce forum sont les 24 et 25 février 2010 à Tindouf (Sud-ouest algérien). Les objectifs tracés de ce forum sont divers. Ce dernier sera l'occasion de faire le bilan de la situation dans les territoires occupés et des atteintes aux droits de l'Homme, annonce-t-on. Il permettra également d'élaborer et de mettre en œuvre, en direction des décideurs internationaux, un plan d'action de sensibilisation à la situation et de soutien à la population sahraouie opprimée au Sahara Occidental et exilée à Tindouf. De même, cet évènement, premier en son genre, permettra d'informer la population sahraouie en exil sur le travail d'observation des procès des activistes sahraouis, sur la vie des familles des prisonniers, le militantisme et la vie des femmes, des jeunes et des étudiants qui résistent à l'occupation marocaine. En outre, il est indiqué auprès de l'Association française des amis de la RASD (AARASD), que l'opportunité sera mise à profit pour faire connaissance entre observateurs du monde entier. Cela, outre la formation d'un réseau d'intervention efficace par rapport à la situation des droits de l'Homme et à la répression au Sahara Occidental et au Maroc. Ainsi, les observateurs qui prendront part à ce premier forum auront l'occasion de rencontrer plusieurs organisations et institutions sahraouies, à l'instar de l'Union nationale des femmes sahraouies (UNFS), l'Union de la jeunesse sahraouie (UJESARIO), l'Union des travailleurs sahraouis (UGTSARIO), l'Union des juristes sahraouis (UJS), l'Union des journalistes et des écrivains sahraouis (UJES). D'autant plus que des rencontres avec les associations des personnes handicapées et les institutions politiques de la République sahraouie en exil sont annoncées. M. B. Les dates prévues pour la tenue de ce forum sont les 24 et 25 février 2010 à Tindouf (Sud-ouest algérien). Les objectifs tracés de ce forum sont divers. Ce dernier sera l'occasion de faire le bilan de la situation dans les territoires occupés et des atteintes aux droits de l'Homme, annonce-t-on. Il permettra également d'élaborer et de mettre en œuvre, en direction des décideurs internationaux, un plan d'action de sensibilisation à la situation et de soutien à la population sahraouie opprimée au Sahara Occidental et exilée à Tindouf. De même, cet évènement, premier en son genre, permettra d'informer la population sahraouie en exil sur le travail d'observation des procès des activistes sahraouis, sur la vie des familles des prisonniers, le militantisme et la vie des femmes, des jeunes et des étudiants qui résistent à l'occupation marocaine. En outre, il est indiqué auprès de l'Association française des amis de la RASD (AARASD), que l'opportunité sera mise à profit pour faire connaissance entre observateurs du monde entier. Cela, outre la formation d'un réseau d'intervention efficace par rapport à la situation des droits de l'Homme et à la répression au Sahara Occidental et au Maroc. Ainsi, les observateurs qui prendront part à ce premier forum auront l'occasion de rencontrer plusieurs organisations et institutions sahraouies, à l'instar de l'Union nationale des femmes sahraouies (UNFS), l'Union de la jeunesse sahraouie (UJESARIO), l'Union des travailleurs sahraouis (UGTSARIO), l'Union des juristes sahraouis (UJS), l'Union des journalistes et des écrivains sahraouis (UJES). D'autant plus que des rencontres avec les associations des personnes handicapées et les institutions politiques de la République sahraouie en exil sont annoncées. M. B.