Pouvoir emprunter les transports collectifs à Alger en temps de pluie est réellement synonyme de parcours du combattant. Seules quelques rares lignes échappent à ce phénomène alors que d'autres représentent de véritables calvaires pour leurs utilisateurs. On peut citer parmi ces dernières la ligne reliant Ben Aknoun à Draria laquelle remporte,haut la main, la palme en matière de nuisances et manques. «C'est un calvaire au quotidien que nous endurons», déplorent l'ensemble des usagers. Il est incontestable que les habitués de cette ligne subissent un véritable martyre et arrivent très souvent sur leurs lieux de travail avec des retards qui sont loin d'être au goût de leurs responsables. Les étudiants et lycéens, à moins de sortir de chez eux eux aux aurores, prennent le risque de rater leur premier cours. Le soir au retour, il ne faut pas espérer mieux, c'est le même scénario qui se répète, sauf que l'on est un peu plus fatigué et avant de pouvoir enfin rejoindre son foyer et tenter d'oublier au plus vite une journée infernale, qui reprendra dès le lendemain, il faut s'armer de beaucoup de patience. L'arrivée, à l'horizon, d'un bus pour la destination désirée s'apparente à un véritable événement pour les usagers qui font le pied de grue sous la pluie battante. Il suffit que quelqu'un dans la foule compacte et tétanisée par le froid, usagers fassent tout de suite appel au peu de forces qui leur restent, personne ne voulant rater ce bus et prendre le risque d'attendre encore durant de longues heures un autre hypothétique bus, bonjour les bousculades ! Les plus faibles resteront sur le carreau. Les habitués de cet axe n'ont pas manqué d'interpeller, à maintes reprises, les autorités concernées, en l'occurrence la Direction des transports de la wilaya d'Alger, leur demandant un renforcement conséquent de cette ligne afin de mettre fin à cette situation cauchemardesque. Mais jusque là rien ne pointe à l'horizon et la situation demeure en l'état. Pouvoir emprunter les transports collectifs à Alger en temps de pluie est réellement synonyme de parcours du combattant. Seules quelques rares lignes échappent à ce phénomène alors que d'autres représentent de véritables calvaires pour leurs utilisateurs. On peut citer parmi ces dernières la ligne reliant Ben Aknoun à Draria laquelle remporte,haut la main, la palme en matière de nuisances et manques. «C'est un calvaire au quotidien que nous endurons», déplorent l'ensemble des usagers. Il est incontestable que les habitués de cette ligne subissent un véritable martyre et arrivent très souvent sur leurs lieux de travail avec des retards qui sont loin d'être au goût de leurs responsables. Les étudiants et lycéens, à moins de sortir de chez eux eux aux aurores, prennent le risque de rater leur premier cours. Le soir au retour, il ne faut pas espérer mieux, c'est le même scénario qui se répète, sauf que l'on est un peu plus fatigué et avant de pouvoir enfin rejoindre son foyer et tenter d'oublier au plus vite une journée infernale, qui reprendra dès le lendemain, il faut s'armer de beaucoup de patience. L'arrivée, à l'horizon, d'un bus pour la destination désirée s'apparente à un véritable événement pour les usagers qui font le pied de grue sous la pluie battante. Il suffit que quelqu'un dans la foule compacte et tétanisée par le froid, usagers fassent tout de suite appel au peu de forces qui leur restent, personne ne voulant rater ce bus et prendre le risque d'attendre encore durant de longues heures un autre hypothétique bus, bonjour les bousculades ! Les plus faibles resteront sur le carreau. Les habitués de cet axe n'ont pas manqué d'interpeller, à maintes reprises, les autorités concernées, en l'occurrence la Direction des transports de la wilaya d'Alger, leur demandant un renforcement conséquent de cette ligne afin de mettre fin à cette situation cauchemardesque. Mais jusque là rien ne pointe à l'horizon et la situation demeure en l'état.