L'Iran a qualifié mardi de "contre-productives" les menaces de sanctions évoquées par le groupe des six pays, chargés d'examiner son dossier nucléaire, ont rapporté des médias. "Parler de sanctions est répétitif et contre-productif", a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparast, en réponse à une question sur la réunion des représentants du groupe des Six samedi à New York. "Si certains pays occidentaux prennent position, ils doivent corriger leur approche et être réalistes à propos de nos droits (nucléaires). Nous percevons des signes de réalisme", a-t-il ajouté, sans autre précision. Les six pays (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne, Allemagne) se sont réunis samedi à New York sans prendre aucune décision, mais ont évoqué de nouvelles sanctions contre l'Iran, opposé à un accord proposé par la communauté internationale. Cet accord vise à transférer en Russie l'uranium iranien faiblement enrichi pour obtenir en retour du combustible plus fortement enrichi pour le réacteur de recherche de Téhéran. L'Iran a toujours affirmé que son programme d'enrichissement d'uranium est à caractère purement civil. L'Iran a qualifié mardi de "contre-productives" les menaces de sanctions évoquées par le groupe des six pays, chargés d'examiner son dossier nucléaire, ont rapporté des médias. "Parler de sanctions est répétitif et contre-productif", a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Ramin Mehmanparast, en réponse à une question sur la réunion des représentants du groupe des Six samedi à New York. "Si certains pays occidentaux prennent position, ils doivent corriger leur approche et être réalistes à propos de nos droits (nucléaires). Nous percevons des signes de réalisme", a-t-il ajouté, sans autre précision. Les six pays (Etats-Unis, Russie, Chine, France, Grande-Bretagne, Allemagne) se sont réunis samedi à New York sans prendre aucune décision, mais ont évoqué de nouvelles sanctions contre l'Iran, opposé à un accord proposé par la communauté internationale. Cet accord vise à transférer en Russie l'uranium iranien faiblement enrichi pour obtenir en retour du combustible plus fortement enrichi pour le réacteur de recherche de Téhéran. L'Iran a toujours affirmé que son programme d'enrichissement d'uranium est à caractère purement civil.