Grâce aux différents dispositifs parrainés par l'agence locale, les chiffres inhérents à la création d'entreprises ont connu une percée sensible, particulièrement dans certains secteurs devenus au fil des années des créneaux porteurs. Grâce aux différents dispositifs parrainés par l'agence locale, les chiffres inhérents à la création d'entreprises ont connu une percée sensible, particulièrement dans certains secteurs devenus au fil des années des créneaux porteurs. Avec la concrétisation de 5.071 projets durant l'exercice 2009, d'un montant estimé à 1,1 milliard de dinars, l'Agence nationale pour le soutien aux jeunes (Ansej) affiche un certain satisfecit à Constantine. Les journées portes ouvertes sur la promotion de l'emploi tenues cette fin de semaine, au niveau du Palais de la culture Malek-Haddad, ont été l'occasion pour dévoiler les statistiques officielles relatives à la création d'emplois et au marché du travail, en général. D'aucuns, responsables de l'Ansej et pouvoirs publics confondus, ont qualifié de «bond qualitatif» les réalisations obtenues dans le secteur de la moyenne et petite entreprises (PME). Grâce aux différents dispositifs parrainés par l'agence locale, les chiffres inhérents à la création d'entreprises ont connu une percée sensible, particulièrement dans certains secteurs, devenus au fil des années des créneaux porteurs. En tête de liste, arrive celui des services avec la création de 1.586 projets, ayant engendré 840 emplois, talonné par le secteur de l'industrie, où 383 postes d'emploi seront pourvus à l'issue de la concrétisation de 1.101 projets. En troisième position, viendra le BTP qui permettra la mise sur pied de 507 projets et le recrutement de 2.376 sans emploi. Le bilan 2009 de l'Ansej fait état de la création de 16.217 postes d'emploi dans une wilaya où le taux de chômage frisait les 30%, il y a à peine une décennie, un taux revu actuellement largement à la baisse. Une réalité qui incite les deux partenaires, Ansej et jeunes diplômés, à davantage de coopération. L'investissement dans certains secteurs est, toutefois, minime pour ne pas dire inexistant, à l'image de celui des transports et de l'agriculture. Pour le premier, c'est le problème de saturation des lignes qui en est la cause, alors que pour le second, c'est l'intérêt qui fait défaut, en dépit des facilitations et des avantages dont il jouit. Le nouveau créneau qui a émergé à Constantine et qui a favorisé la création de PME est celui de la réhabilitation de la vieille ville. En effet, des universitaires ont saisi cette opportunité pour se lancer dans le projet de la restauration des quartiers de la médina, et de ce fait, pas moins de quarante postes d'emploi ont été créés. N. D. Avec la concrétisation de 5.071 projets durant l'exercice 2009, d'un montant estimé à 1,1 milliard de dinars, l'Agence nationale pour le soutien aux jeunes (Ansej) affiche un certain satisfecit à Constantine. Les journées portes ouvertes sur la promotion de l'emploi tenues cette fin de semaine, au niveau du Palais de la culture Malek-Haddad, ont été l'occasion pour dévoiler les statistiques officielles relatives à la création d'emplois et au marché du travail, en général. D'aucuns, responsables de l'Ansej et pouvoirs publics confondus, ont qualifié de «bond qualitatif» les réalisations obtenues dans le secteur de la moyenne et petite entreprises (PME). Grâce aux différents dispositifs parrainés par l'agence locale, les chiffres inhérents à la création d'entreprises ont connu une percée sensible, particulièrement dans certains secteurs, devenus au fil des années des créneaux porteurs. En tête de liste, arrive celui des services avec la création de 1.586 projets, ayant engendré 840 emplois, talonné par le secteur de l'industrie, où 383 postes d'emploi seront pourvus à l'issue de la concrétisation de 1.101 projets. En troisième position, viendra le BTP qui permettra la mise sur pied de 507 projets et le recrutement de 2.376 sans emploi. Le bilan 2009 de l'Ansej fait état de la création de 16.217 postes d'emploi dans une wilaya où le taux de chômage frisait les 30%, il y a à peine une décennie, un taux revu actuellement largement à la baisse. Une réalité qui incite les deux partenaires, Ansej et jeunes diplômés, à davantage de coopération. L'investissement dans certains secteurs est, toutefois, minime pour ne pas dire inexistant, à l'image de celui des transports et de l'agriculture. Pour le premier, c'est le problème de saturation des lignes qui en est la cause, alors que pour le second, c'est l'intérêt qui fait défaut, en dépit des facilitations et des avantages dont il jouit. Le nouveau créneau qui a émergé à Constantine et qui a favorisé la création de PME est celui de la réhabilitation de la vieille ville. En effet, des universitaires ont saisi cette opportunité pour se lancer dans le projet de la restauration des quartiers de la médina, et de ce fait, pas moins de quarante postes d'emploi ont été créés. N. D.