Le président du parti Ahd 54, Ali Faouzi Rebaïne, a appelé au ''respect du principe de séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire'' pour, a-t-il dit, ''assurer le bon fonctionnement des institutions de l'Etat''. Lors d'une conférence de presse qu'il a animée, hier, à Oum-el-Bouaghi , le premier responsable du parti a plaidé, rapporte l'APS, pour «l'éradication de la corruption qui continue de sévir dans les secteurs de l'économie et de l'administration''. Un objectif qui ne pourrait être atteint, selon lui, ''sans la séparation des pouvoir et l'indépendance de la justice, nécessaires pour concrétiser l'Etat de droit''. Rebaine estime à ce propos qu' «il n'y a pas, à l'heure actuelle, de justice». Pour étayer ses propos, il explique que ''les magistrats sont sujets à des pressions de tout bord, notamment émanant de l'administration et des politiques''. Une situation qui empêche, à son sens, le juge de ''traiter en toute indépendance les dossiers qui lui sont soumis et de conforter le citoyen dans sa conviction que la loi est au-dessus de tous''. Il a déploré, à cet effet, que ''l'approche du gouvernement et de ses différents organes pêche par un manque manifeste de précision et d'exactitude'', ce qui justifie, selon lui, ''une refonte des institutions de l'Etat sur la base d'élections libres, honnêtes et propres''. Répondant à une question liée à ''l'absence des partis de l'opposition'', le président de Ahd 54 a estimé que ces derniers sont ''victimes d'un embargo médiatique'' et sont de ce fait, ''incapables de porter leur message aux citoyens». Pour M. Rebaïne, qui présidait, à Oum El Bouaghi, l'installation du bureau de wilaya de son parti ''l'on ne peut réaliser le changement social dans ces conditions''. Il a appelé, en conclusion, les citoyens et la société civile à ''revenir au travail politique pour défendre le pays et les intérêts du peuple, en s'inspirant de l'exemple de la génération de Novembre'''. I. A. Le président du parti Ahd 54, Ali Faouzi Rebaïne, a appelé au ''respect du principe de séparation des pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire'' pour, a-t-il dit, ''assurer le bon fonctionnement des institutions de l'Etat''. Lors d'une conférence de presse qu'il a animée, hier, à Oum-el-Bouaghi , le premier responsable du parti a plaidé, rapporte l'APS, pour «l'éradication de la corruption qui continue de sévir dans les secteurs de l'économie et de l'administration''. Un objectif qui ne pourrait être atteint, selon lui, ''sans la séparation des pouvoir et l'indépendance de la justice, nécessaires pour concrétiser l'Etat de droit''. Rebaine estime à ce propos qu' «il n'y a pas, à l'heure actuelle, de justice». Pour étayer ses propos, il explique que ''les magistrats sont sujets à des pressions de tout bord, notamment émanant de l'administration et des politiques''. Une situation qui empêche, à son sens, le juge de ''traiter en toute indépendance les dossiers qui lui sont soumis et de conforter le citoyen dans sa conviction que la loi est au-dessus de tous''. Il a déploré, à cet effet, que ''l'approche du gouvernement et de ses différents organes pêche par un manque manifeste de précision et d'exactitude'', ce qui justifie, selon lui, ''une refonte des institutions de l'Etat sur la base d'élections libres, honnêtes et propres''. Répondant à une question liée à ''l'absence des partis de l'opposition'', le président de Ahd 54 a estimé que ces derniers sont ''victimes d'un embargo médiatique'' et sont de ce fait, ''incapables de porter leur message aux citoyens». Pour M. Rebaïne, qui présidait, à Oum El Bouaghi, l'installation du bureau de wilaya de son parti ''l'on ne peut réaliser le changement social dans ces conditions''. Il a appelé, en conclusion, les citoyens et la société civile à ''revenir au travail politique pour défendre le pays et les intérêts du peuple, en s'inspirant de l'exemple de la génération de Novembre'''. I. A.