«Les Palmiers» à Chrarba dans la commune des Eucalyptus, est le nom pompeux attribué à ce bidonville par ses habitants. Cet îlot constitué d'habitations précaires présente au visiteur, non averti, un paysage surréaliste sur fond d'un incroyable enchevêtrement de fils électriques formant de périlleuses toiles d'araignée. Pour accéder à la précieuse énergie qu'est l'électricité les habitants des Palmiers n'ont eu d'autre choix que d'opter pour le raccordement illicite et donc le piratage des câbles électriques de haute tension direstement à partir des pylônes électriques ou encore à partir des lampadaires installés pour l'éclairage public. Cette dangereuse dérive demeure malheureusement, aussi risquée soit-elle, l'unique solution pour les citoyens de cette cité "anarchique". Il faut dire que les autorités locales se retrouvent confrontées à un véritable dilemne, car il leur faut soit reconnaître l'existence légale de cette favela et donc devoir lui accorder tous les droits auxquels pourraient prétendre ses occupants ou encore continuer à faire semblant d'ignorer ce qui s'y passe et détourner les yeux pudiquement devant cette situation à hauts risques. «Les Palmiers» à Chrarba dans la commune des Eucalyptus, est le nom pompeux attribué à ce bidonville par ses habitants. Cet îlot constitué d'habitations précaires présente au visiteur, non averti, un paysage surréaliste sur fond d'un incroyable enchevêtrement de fils électriques formant de périlleuses toiles d'araignée. Pour accéder à la précieuse énergie qu'est l'électricité les habitants des Palmiers n'ont eu d'autre choix que d'opter pour le raccordement illicite et donc le piratage des câbles électriques de haute tension direstement à partir des pylônes électriques ou encore à partir des lampadaires installés pour l'éclairage public. Cette dangereuse dérive demeure malheureusement, aussi risquée soit-elle, l'unique solution pour les citoyens de cette cité "anarchique". Il faut dire que les autorités locales se retrouvent confrontées à un véritable dilemne, car il leur faut soit reconnaître l'existence légale de cette favela et donc devoir lui accorder tous les droits auxquels pourraient prétendre ses occupants ou encore continuer à faire semblant d'ignorer ce qui s'y passe et détourner les yeux pudiquement devant cette situation à hauts risques.