Les mesures d'austérité annoncées par le gouvernement de Georges Papandréou pour parer à la crise budgétaire sont approuvées par la majorité des Grecs qui voient en cette initiative, "une nécessité". Selon un sondage publié hier dans le quotidien To Vima, six Grecs sur dix jugent que le renforcement des mesures d'austérité est nécessaire au redressement des finances publiques de la Grèce. 64% des 2.300 personnes interrogées à travers le pays par l'institut de sondage Kapa Research S.A., jugent "nécessaires" ces mesures, contre 32,5%, qui croient qu'elles pourraient être "moins dures". La politique du gouvernement "va dans la bonne direction" selon 64,1% des personnes interrogées contre 29,3% affirmant le contraire. Le gel de salaires et la réduction des primes des fonctionnaires sont approuvés à 63,6% et 64,6% respectivement. Une grande majorité approuve l'augmentation de l'imposition des sociétés off-shore (93,2%) et des dividendes des grands actionnaires des entreprises (85%). Toutefois, 60,5% sont contre la hausse de la taxe sur les carburants et l'augmentation de l'âge du départ à la retraite, actuellement à 65 ans pour les hommes et à 60 ans pour les femmes. Les mesures d'austérité annoncées par le gouvernement de Georges Papandréou pour parer à la crise budgétaire sont approuvées par la majorité des Grecs qui voient en cette initiative, "une nécessité". Selon un sondage publié hier dans le quotidien To Vima, six Grecs sur dix jugent que le renforcement des mesures d'austérité est nécessaire au redressement des finances publiques de la Grèce. 64% des 2.300 personnes interrogées à travers le pays par l'institut de sondage Kapa Research S.A., jugent "nécessaires" ces mesures, contre 32,5%, qui croient qu'elles pourraient être "moins dures". La politique du gouvernement "va dans la bonne direction" selon 64,1% des personnes interrogées contre 29,3% affirmant le contraire. Le gel de salaires et la réduction des primes des fonctionnaires sont approuvés à 63,6% et 64,6% respectivement. Une grande majorité approuve l'augmentation de l'imposition des sociétés off-shore (93,2%) et des dividendes des grands actionnaires des entreprises (85%). Toutefois, 60,5% sont contre la hausse de la taxe sur les carburants et l'augmentation de l'âge du départ à la retraite, actuellement à 65 ans pour les hommes et à 60 ans pour les femmes.