Les Grecs sont partagés sur les mesures de rigueur draconiennes adoptées par le gouvernement socialiste, qui visent à parer à la dérive des finances publiques du pays, selon un sondage publié samedi dans le quotidien grec To Vima. Près de 48% des personnes interrogées "s'opposent" au plan d'austérité alors que 46,6% des sondés sont "d'accord" sur les mesures "d'urgence", adoptées vendredi par le Parlement grec pour économiser 4,8 milliards d'euros. Selon ce sondage effectué jeudi passé , au lendemain de l'annonce des mesures, par l'institut Kapa Research auprès de 1.044 personnes, plus de 67% des sondés s'opposent au gel des retraites et 64,2% sont contre la hausse de la TVA de deux points (à 21%). Plus de 60% sont également contre la réduction de 30% du 13e mois et 60% du 14e mois dans la Fonction publique et 74% contre la réduction de 200 millions d'euros du budget du ministère de l'Education. En revanche, une grande majorité des sondés se disent en faveur de l'imposition d'une taxe spéciale aux produits de luxe, 93% sont pour la réduction de 7% des salaires du président de la République, du Premier ministre et des ministres et 87% pour les coupes de 20% des primes des magistrats. Plus de 65% des sondés sont également en faveur des coupes de 10% des primes dans la Fonction publique. Alors que plus de 82% se disent en faveur de l'augmentation des taxes sur le tabac et l'alcool, près de 64% sont contre l'augmentation de 8 centimes de l'essence et de trois centimes du diesel. Les mesures gouvernementales visent à regagner la confiance des marchés internationaux et à réduire la dette abyssale de la Grèce, qui s'est élevée à 300 milliards d'euros en 2009. Le Premier ministre grec Georges Papandréou a réussi, vendredi passé, à s'assurer le soutien de l'Allemagne lors des entretiens à Berlin avec la chancelière allemande Angela Merkel au sujet de la crise dans son pays. Les Grecs sont partagés sur les mesures de rigueur draconiennes adoptées par le gouvernement socialiste, qui visent à parer à la dérive des finances publiques du pays, selon un sondage publié samedi dans le quotidien grec To Vima. Près de 48% des personnes interrogées "s'opposent" au plan d'austérité alors que 46,6% des sondés sont "d'accord" sur les mesures "d'urgence", adoptées vendredi par le Parlement grec pour économiser 4,8 milliards d'euros. Selon ce sondage effectué jeudi passé , au lendemain de l'annonce des mesures, par l'institut Kapa Research auprès de 1.044 personnes, plus de 67% des sondés s'opposent au gel des retraites et 64,2% sont contre la hausse de la TVA de deux points (à 21%). Plus de 60% sont également contre la réduction de 30% du 13e mois et 60% du 14e mois dans la Fonction publique et 74% contre la réduction de 200 millions d'euros du budget du ministère de l'Education. En revanche, une grande majorité des sondés se disent en faveur de l'imposition d'une taxe spéciale aux produits de luxe, 93% sont pour la réduction de 7% des salaires du président de la République, du Premier ministre et des ministres et 87% pour les coupes de 20% des primes des magistrats. Plus de 65% des sondés sont également en faveur des coupes de 10% des primes dans la Fonction publique. Alors que plus de 82% se disent en faveur de l'augmentation des taxes sur le tabac et l'alcool, près de 64% sont contre l'augmentation de 8 centimes de l'essence et de trois centimes du diesel. Les mesures gouvernementales visent à regagner la confiance des marchés internationaux et à réduire la dette abyssale de la Grèce, qui s'est élevée à 300 milliards d'euros en 2009. Le Premier ministre grec Georges Papandréou a réussi, vendredi passé, à s'assurer le soutien de l'Allemagne lors des entretiens à Berlin avec la chancelière allemande Angela Merkel au sujet de la crise dans son pays.