Critiqué par certaines femmes qui ont subi des violences à Hassi-Messaoud, Djamel Ould-Abbès, ministre de la Solidarité, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger se défend et a affirmé, hier, à partir de Bou-Ismail que celles-ci ont été prises en charge par son département ministériel qui s'est même constitué partie civile lors de leur procès à Biskra. Il a assuré, dans ce cadre, que le ministère de la Solidarité «poursuivra ses efforts en direction des femmes, même si certaines actions ont été décriées par certains», comme cela a été le cas pour la loi déposée à l'APN relative à l'attribution du nom patronymique du père géniteur quand celui-ci est identifié quitte à recourir à l'ADN. La visite de Djamel Ould Abbès à Bou-Ismail a été consacrée au Centre national d'accueil des femmes victimes de violences et en situation de détresse de Bou-Ismail (Tipasa) qui s'est enrichi d'un Conseil d'orientation. Il a été installé, hier, par Djamel Ould-Abbès. Ce centre qui apportera, selon le ministre, un plus en matière de gestion de cette structure et une prise en charge des femmes victimes de violences et en situation de détresse sera «un modèle». Et pour cause, le centre de Bou Ismail, à son ouverture en 1999, ne prenait en charge que les femmes victimes de viols commis par les terroristes, alors qu'aujourd'hui ses compétences sont élargies aux femmes en détresse. Au titre de l'exercice 2009, le centre doté d'un budget de 34 millions de DA, a pris en charge, 1.440 femmes dans cette situation. Déjà en 2004, cette structure a été érigée en centre national pour les femmes victimes de violences conjugales et familiales et celles en détresse à l'image des mères célibataires, et le premier responsable du département de la Solidarité a salué le travail des équipes du centre de Bou Ismail, signalant que «1.852 actions ont été menées en faveur des femmes dont 21 victimes du terrorisme, 529 victimes de violences conjugales et familiales et 343 mères célibataires qui ont repris leurs enfants à l'issue de leur séjour dans ce centre». S. B. Critiqué par certaines femmes qui ont subi des violences à Hassi-Messaoud, Djamel Ould-Abbès, ministre de la Solidarité, de la Famille et de la Communauté nationale à l'étranger se défend et a affirmé, hier, à partir de Bou-Ismail que celles-ci ont été prises en charge par son département ministériel qui s'est même constitué partie civile lors de leur procès à Biskra. Il a assuré, dans ce cadre, que le ministère de la Solidarité «poursuivra ses efforts en direction des femmes, même si certaines actions ont été décriées par certains», comme cela a été le cas pour la loi déposée à l'APN relative à l'attribution du nom patronymique du père géniteur quand celui-ci est identifié quitte à recourir à l'ADN. La visite de Djamel Ould Abbès à Bou-Ismail a été consacrée au Centre national d'accueil des femmes victimes de violences et en situation de détresse de Bou-Ismail (Tipasa) qui s'est enrichi d'un Conseil d'orientation. Il a été installé, hier, par Djamel Ould-Abbès. Ce centre qui apportera, selon le ministre, un plus en matière de gestion de cette structure et une prise en charge des femmes victimes de violences et en situation de détresse sera «un modèle». Et pour cause, le centre de Bou Ismail, à son ouverture en 1999, ne prenait en charge que les femmes victimes de viols commis par les terroristes, alors qu'aujourd'hui ses compétences sont élargies aux femmes en détresse. Au titre de l'exercice 2009, le centre doté d'un budget de 34 millions de DA, a pris en charge, 1.440 femmes dans cette situation. Déjà en 2004, cette structure a été érigée en centre national pour les femmes victimes de violences conjugales et familiales et celles en détresse à l'image des mères célibataires, et le premier responsable du département de la Solidarité a salué le travail des équipes du centre de Bou Ismail, signalant que «1.852 actions ont été menées en faveur des femmes dont 21 victimes du terrorisme, 529 victimes de violences conjugales et familiales et 343 mères célibataires qui ont repris leurs enfants à l'issue de leur séjour dans ce centre». S. B.