Les cours du pétrole reprenaient des forces hier, soutenus par un affaiblissement du dollar qui conforte les achats des matières premières libellées en cette monnaie. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril gagnait 1,41 dollar, à 73,92 dollars, par rapport à la clôture de la veille sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres. Le baril de "brut léger texan" (WTI) pour livraison en mars gagnait 1,22 dollar à 75,35 dollars dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). Les prix du pétrole étaient soutenus, mardi, par un affaiblissement du dollar, qui évoluait autour de 1,3650 dollar pour un euro, ce qui rend les achats de matières premières libellées en dollar plus attractifs. Cependant, les prix du pétrole subissent actuellement la pression de craintes persistantes sur la vigueur et la pérennité de la reprise économique mondiale. La Grèce reste le principal point d'inquiétude des marchés tant d'actions, de changes que de matières premières. Par ailleurs, les niveaux de stocks de brut et de produits pétroliers aux Etats-Unis continuent de rester élevés, la demande occidentale en produits raffinés reste faible, notent les analystes. R. E. Les cours du pétrole reprenaient des forces hier, soutenus par un affaiblissement du dollar qui conforte les achats des matières premières libellées en cette monnaie. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril gagnait 1,41 dollar, à 73,92 dollars, par rapport à la clôture de la veille sur l'InterContinental Exchange (ICE) de Londres. Le baril de "brut léger texan" (WTI) pour livraison en mars gagnait 1,22 dollar à 75,35 dollars dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex). Les prix du pétrole étaient soutenus, mardi, par un affaiblissement du dollar, qui évoluait autour de 1,3650 dollar pour un euro, ce qui rend les achats de matières premières libellées en dollar plus attractifs. Cependant, les prix du pétrole subissent actuellement la pression de craintes persistantes sur la vigueur et la pérennité de la reprise économique mondiale. La Grèce reste le principal point d'inquiétude des marchés tant d'actions, de changes que de matières premières. Par ailleurs, les niveaux de stocks de brut et de produits pétroliers aux Etats-Unis continuent de rester élevés, la demande occidentale en produits raffinés reste faible, notent les analystes. R. E.