Les prix du pétrole se ressaisissaient très légèrement hier en début d'échanges européens, après être tombés la veille à leur plus bas niveau depuis début juin, sur fond de repli du dollar et dans l'attente d'un recul significatif des réserves de brut américaines. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre s'échangeait à 72,62 dollars, en progression de 24 cents par rapport à la clôture de mardi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en octobre grimpait de 10 cents à 71,73 dollars. Les cours de l'or noir, qui dépassaient encore les 80 dollars début août, ont touché mercredi en séance 71,45 dollars à New York et 72,20 à Londres, des niveaux plus vus depuis début juin. Les prix trouvaient quelque soutien dans une vague d'achats à bon compte et dans un relatif affaiblissement du dollar face à l'euro, après une nette progression du baromètre IFO, indicateur de confiance des milieux d'affaires allemands. Une dépréciation de la monnaie américaine rend plus attractifs les achats de matières premières libellées en dollars pour les investisseurs munis d'autres devises. Par ailleurs, alors que les opérateurs sont affolés par le niveau historiquement élevé des réserves pétrolières aux Etats-Unis, les estimations publiées mardi soir par l'association professionnelle American Petroleum Institute offraient un tableau contrasté. Donnant une première indication avant l'annonce des chiffres officiels du Département de l'Energie (DoE) mercredi, l'API faisait état sur la semaine passée d'un fort recul de 1,85 million de barils des stocks de brut, mais d'un bond de 1,9 million de barils des produits distillés, et 692 mille barils des stocks d'essence. Les prix du pétrole se ressaisissaient très légèrement hier en début d'échanges européens, après être tombés la veille à leur plus bas niveau depuis début juin, sur fond de repli du dollar et dans l'attente d'un recul significatif des réserves de brut américaines. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en octobre s'échangeait à 72,62 dollars, en progression de 24 cents par rapport à la clôture de mardi. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" (WTI) pour livraison en octobre grimpait de 10 cents à 71,73 dollars. Les cours de l'or noir, qui dépassaient encore les 80 dollars début août, ont touché mercredi en séance 71,45 dollars à New York et 72,20 à Londres, des niveaux plus vus depuis début juin. Les prix trouvaient quelque soutien dans une vague d'achats à bon compte et dans un relatif affaiblissement du dollar face à l'euro, après une nette progression du baromètre IFO, indicateur de confiance des milieux d'affaires allemands. Une dépréciation de la monnaie américaine rend plus attractifs les achats de matières premières libellées en dollars pour les investisseurs munis d'autres devises. Par ailleurs, alors que les opérateurs sont affolés par le niveau historiquement élevé des réserves pétrolières aux Etats-Unis, les estimations publiées mardi soir par l'association professionnelle American Petroleum Institute offraient un tableau contrasté. Donnant une première indication avant l'annonce des chiffres officiels du Département de l'Energie (DoE) mercredi, l'API faisait état sur la semaine passée d'un fort recul de 1,85 million de barils des stocks de brut, mais d'un bond de 1,9 million de barils des produits distillés, et 692 mille barils des stocks d'essence.