Le stationnement à Alger-Centre reste un véritable casse-tête. Les rares parkings existants étant très tôt saturés et en attendant la réalisation de ceux programmés, les automobilistes restent confrontés au risque du redoutable"sabot" ou pire encore voir leur véhicule embarqué vers la fourrière. Le stationnement à Alger-Centre reste un véritable casse-tête. Les rares parkings existants étant très tôt saturés et en attendant la réalisation de ceux programmés, les automobilistes restent confrontés au risque du redoutable"sabot" ou pire encore voir leur véhicule embarqué vers la fourrière. L'APC d'Alger-Centre a décidé de prendre le taureau par les cornes et mettre fin définitivement aux stationnement anarchiques qui constituent, pour l'heure, un véritable problème, vu l'afflux considérable des véhicules et l'insuffisance flagrante des parkings dans cette localité. Plusieurs résidants n'hésitent d'ailleurs pas à installer devant leurs lieux de résidence ou de travail, des piquets avec chaînes et cadenas, pour s'approprier des places réservées au stationnement de leurs véhicules. Les services de l'assemblée populaire communale d'Alger-Centre ont donc décidé de passer à l'action et faire cesser ces pratiques illégales. Pour cela un plan d'attaque est en préparation et est sur le point d'être finalisé. «On devrait recevoir l'arrêté du wali délégué probablement demain. Il nous faudra une journée avec l'aide de la sûreté de daïra de Sidi M'hamed et les services de l'urbanisme de la wilaya d'Alger pour mettre fin à l'anarchie ambiante», nous explique le vice-président du département en charge de cette question épineuse. Notre interlocuteur nous précise que jusqu'à l'heure actuelle 120 places illégales de stationnement ont été recenséesà Alger-Centre. Par ailleurs, il est précisé que l'Etablissement de gestion de la circulation et du transport urbain (EGCTU), accorde bien des autorisations aux particuliers désirant louer une place pour pouvoir stationner leurs véhicules à proximité de leurs domiciles, mais pour avoir le droit de le faire, nous explique-t-on il faut débourser la somme de quatre mille (4000 DA) annuellement. Notre interlocuteur nous affirme, dans ce sens, que toutes les personnes en possession de ces autorisations et qui ne se seraient pas acquittées de ce droit de stationnement se verront retirer purement et simplement ce même droit. «Si on laisse les gens se comporter à leur guise et en toute liberté, bientôt il n'y aura plus aucun espace de libre pour les piétons", déplore le vice- président avant de conclure «celui qui tient à acquérir une place pour le stationnementde son véhicule n'a qu'à se conformer aux lois en vigueur». Y. B. L'APC d'Alger-Centre a décidé de prendre le taureau par les cornes et mettre fin définitivement aux stationnement anarchiques qui constituent, pour l'heure, un véritable problème, vu l'afflux considérable des véhicules et l'insuffisance flagrante des parkings dans cette localité. Plusieurs résidants n'hésitent d'ailleurs pas à installer devant leurs lieux de résidence ou de travail, des piquets avec chaînes et cadenas, pour s'approprier des places réservées au stationnement de leurs véhicules. Les services de l'assemblée populaire communale d'Alger-Centre ont donc décidé de passer à l'action et faire cesser ces pratiques illégales. Pour cela un plan d'attaque est en préparation et est sur le point d'être finalisé. «On devrait recevoir l'arrêté du wali délégué probablement demain. Il nous faudra une journée avec l'aide de la sûreté de daïra de Sidi M'hamed et les services de l'urbanisme de la wilaya d'Alger pour mettre fin à l'anarchie ambiante», nous explique le vice-président du département en charge de cette question épineuse. Notre interlocuteur nous précise que jusqu'à l'heure actuelle 120 places illégales de stationnement ont été recenséesà Alger-Centre. Par ailleurs, il est précisé que l'Etablissement de gestion de la circulation et du transport urbain (EGCTU), accorde bien des autorisations aux particuliers désirant louer une place pour pouvoir stationner leurs véhicules à proximité de leurs domiciles, mais pour avoir le droit de le faire, nous explique-t-on il faut débourser la somme de quatre mille (4000 DA) annuellement. Notre interlocuteur nous affirme, dans ce sens, que toutes les personnes en possession de ces autorisations et qui ne se seraient pas acquittées de ce droit de stationnement se verront retirer purement et simplement ce même droit. «Si on laisse les gens se comporter à leur guise et en toute liberté, bientôt il n'y aura plus aucun espace de libre pour les piétons", déplore le vice- président avant de conclure «celui qui tient à acquérir une place pour le stationnementde son véhicule n'a qu'à se conformer aux lois en vigueur». Y. B.