Le mois de mars a été plutôt humide, c'est le moins que l'on puisse dire, la pluie n'a en effet pratiquement pas cessé de tomber et de cause à effet le prix des roses s'est envolé. D'ailleurs les fleuristes interrogés sur cette hausse imprévue à cette époque, nous affirment que les roses proposées sur leurs étals ne sont pas algériennes, mais proviendraient en droite ligne de l'autre côté de la Méditérranée - ne sommes-nous même plus capables de faire pousser des roses ?. Toujours est-il que ces prix prohibitifs ont pénalisé les enfants lesquels habituellement piochent dans leur argent de poche pour offrir un petit bouquet de roses à leurs mamans pour la Journée internationale de la femme, ils en ont été pour leurs frais cette année et ont été obligés de se rabattre sur les fleurs... en plastique. Les grands-mêres, elles non plus n'ont pas reçu de fleurs pour leur fête, la pluie, ou l'on ne sait quoi, a ainsi gâché un tant soit peu la fête des femmes à Alger, car peut-on concevoir une fête sans fleurs. Il restait à offrir (peut-être) ce parfum d'un grand couturier parisien qui se retrouve proposé sur les trottoirs de la capitale à un prix incroyable - 200 DA ! - par quel mystère ou tour de passe-passe on se le demande bien. D'autant que rien n'indique sur l'emballage que ce parfum serait issu de la contrefaçon. R. A. Le mois de mars a été plutôt humide, c'est le moins que l'on puisse dire, la pluie n'a en effet pratiquement pas cessé de tomber et de cause à effet le prix des roses s'est envolé. D'ailleurs les fleuristes interrogés sur cette hausse imprévue à cette époque, nous affirment que les roses proposées sur leurs étals ne sont pas algériennes, mais proviendraient en droite ligne de l'autre côté de la Méditérranée - ne sommes-nous même plus capables de faire pousser des roses ?. Toujours est-il que ces prix prohibitifs ont pénalisé les enfants lesquels habituellement piochent dans leur argent de poche pour offrir un petit bouquet de roses à leurs mamans pour la Journée internationale de la femme, ils en ont été pour leurs frais cette année et ont été obligés de se rabattre sur les fleurs... en plastique. Les grands-mêres, elles non plus n'ont pas reçu de fleurs pour leur fête, la pluie, ou l'on ne sait quoi, a ainsi gâché un tant soit peu la fête des femmes à Alger, car peut-on concevoir une fête sans fleurs. Il restait à offrir (peut-être) ce parfum d'un grand couturier parisien qui se retrouve proposé sur les trottoirs de la capitale à un prix incroyable - 200 DA ! - par quel mystère ou tour de passe-passe on se le demande bien. D'autant que rien n'indique sur l'emballage que ce parfum serait issu de la contrefaçon. R. A.