L'accès aux soins reste insuffisant et inadapté. Il sera amélioré en 2010, grâce à l'augmentation des capacités d'accueil et de soins, a déclaré Saïd Barkat lors de l'ouverture des travaux d'une journée parlementaire préparatoire à la conférence nationale sur la lutte contre le cancer. L'accès aux soins reste insuffisant et inadapté. Il sera amélioré en 2010, grâce à l'augmentation des capacités d'accueil et de soins, a déclaré Saïd Barkat lors de l'ouverture des travaux d'une journée parlementaire préparatoire à la conférence nationale sur la lutte contre le cancer. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière reconnaît que l'accès aux soins pour les cancéreux reste insuffisant et inadapté. "L'accès aux soins reste insuffisant et inadapté. Il sera amélioré en 2010, grâce à l'augmentation des capacités d'accueil et de soins", a déclaré Saïd Barkat lors de l'ouverture des travaux d'une journée parlementaire préparatoire à la conférence nationale sur la lutte contre le cancer. "Il y a près de 13 mille malades cancéreux qui attendent des soins", a-t-il indiqué, relevant que les quatre centres de radiothérapie existants n'arrivent plus à répondre au nombre important de malades. "Toutes les conditions subjectives et objectives sont réunies aujourd'hui pour répondre à ce défi sociétal", a estimé Barkat qui a annoncé l'ouverture de huit nouveaux centres pour l'année en cours, dont le premier, implanté à Ouargla, sera mis en service dans quelques semaines. Il a rappelé qu'un programme de réalisation de quinze centres de radiothérapie à travers le territoire national est en cours, ajoutant que l'Etat compte implanter, d'ici 2014, un centre dans chaque wilaya du pays. "Une démarche pluridisciplinaire et multisectorielle est indispensable dans la lutte contre le cancer", a-t-il en outre préconisé, soulignant que "cette conviction est le fruit d'une longue maturation au niveau du gouvernement et de l'engagement des praticiens". De son côté, le président de la Commission santé, affaires sociales, travail et formation professionnelle de l'APN Tayeb Chouaki, a noté que cette journée parlementaire s'inscrit dans la continuité de la première, organisée en octobre 2009, et répond au souci de renforcer la lutte contre cette maladie, eu égard à sa propagation "alarmante" au sein de la société. Il a invité les participants à cette rencontre à formuler des recommandations pertinentes afin, a-t-il dit, de dégager une feuille de route dans le cadre de la mise sur pied d'un plan national de lutte contre le cancer. Le Dr Illimi Farida quant à elle, a plaidé pour la création d'une commission de travail mixte entre l'APN et le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière pour "suivre le dossier de la lutte contre le cancer", tout en insistant sur la nécessité "d'impliquer l'ensemble des professionnels, les autorités publiques, le mouvement associatif, le secteur privé et les parlementaires dans la mise en œuvre de cette stratégie". Elle a plaidé, dans le même ordre d'idées, pour l'allocation d'un budget consacré à la lutte contre le cancer dans le cadre de ce plan. Parmi les propositions faites par le Dr Illimi, il y a lieu de citer aussi "la nécessité d'échanger des expériences avec d'autres Parlements ayant élaboré des lois dans le cadre de la lutte contre le cancer, le soutien à la recherche scientifique et l'implication du secteur privé dans le dépistage précoce en coordination avec le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale". M. C. Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière reconnaît que l'accès aux soins pour les cancéreux reste insuffisant et inadapté. "L'accès aux soins reste insuffisant et inadapté. Il sera amélioré en 2010, grâce à l'augmentation des capacités d'accueil et de soins", a déclaré Saïd Barkat lors de l'ouverture des travaux d'une journée parlementaire préparatoire à la conférence nationale sur la lutte contre le cancer. "Il y a près de 13 mille malades cancéreux qui attendent des soins", a-t-il indiqué, relevant que les quatre centres de radiothérapie existants n'arrivent plus à répondre au nombre important de malades. "Toutes les conditions subjectives et objectives sont réunies aujourd'hui pour répondre à ce défi sociétal", a estimé Barkat qui a annoncé l'ouverture de huit nouveaux centres pour l'année en cours, dont le premier, implanté à Ouargla, sera mis en service dans quelques semaines. Il a rappelé qu'un programme de réalisation de quinze centres de radiothérapie à travers le territoire national est en cours, ajoutant que l'Etat compte implanter, d'ici 2014, un centre dans chaque wilaya du pays. "Une démarche pluridisciplinaire et multisectorielle est indispensable dans la lutte contre le cancer", a-t-il en outre préconisé, soulignant que "cette conviction est le fruit d'une longue maturation au niveau du gouvernement et de l'engagement des praticiens". De son côté, le président de la Commission santé, affaires sociales, travail et formation professionnelle de l'APN Tayeb Chouaki, a noté que cette journée parlementaire s'inscrit dans la continuité de la première, organisée en octobre 2009, et répond au souci de renforcer la lutte contre cette maladie, eu égard à sa propagation "alarmante" au sein de la société. Il a invité les participants à cette rencontre à formuler des recommandations pertinentes afin, a-t-il dit, de dégager une feuille de route dans le cadre de la mise sur pied d'un plan national de lutte contre le cancer. Le Dr Illimi Farida quant à elle, a plaidé pour la création d'une commission de travail mixte entre l'APN et le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière pour "suivre le dossier de la lutte contre le cancer", tout en insistant sur la nécessité "d'impliquer l'ensemble des professionnels, les autorités publiques, le mouvement associatif, le secteur privé et les parlementaires dans la mise en œuvre de cette stratégie". Elle a plaidé, dans le même ordre d'idées, pour l'allocation d'un budget consacré à la lutte contre le cancer dans le cadre de ce plan. Parmi les propositions faites par le Dr Illimi, il y a lieu de citer aussi "la nécessité d'échanger des expériences avec d'autres Parlements ayant élaboré des lois dans le cadre de la lutte contre le cancer, le soutien à la recherche scientifique et l'implication du secteur privé dans le dépistage précoce en coordination avec le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale". M. C.