La commune de Gué de Constantine peine à sortir de l'ornière en dépit des efforts considérables fournis par les autorités communales pour tenter de booster le développement local. Le quotidien des résidants de cette commune n'est pas rose. Mais ce que déplore le plus ces derniers, c'est bien l'insalubrité envahissante. Les multiples décharges transforment en effet la majorité des quartiers de cette commune, à l'instar du quartier El Hayet et de la cité des 520- Logts en gigantesque décharge publique. La route reliant ces deux quartiers n'est pas non plus en meilleur état. Cette voie d'accès qui connait un grand afflux étant l'axe principal reliant pratiquement entre eux est un véritable dépotoir d'oû émanent les mauvaises odeurs et un paradis pour les chiens et chats errants et les insectes en tous genres. Les citoyens ont malheureusement une grande part de responsabilité dans cette situation ense débarassant des ordures ménagères et divers détritus à même les trottoirs et les rues. Les services de ramassage, dépassés par une extension sans frein due à l'érection anarchique de nouvelles agglomérations, n'arrivent plus à gérer la situation. L'autre grand problème, qui n'est d'ailleurs pas propre à Gué de Constantine est la grave détérioration des routes. C'est un véritable obstacle au développement de la localité. La cité 720-Logements attend depuis plusieurs années l'aménagement de ses routes. Les habitants de ce quartier nous expliquent qu'il y a bien de temps à autres des réfections de ces routes, mais semble-t-il très mal effectuées si bien que quelques mois plus tard les routes sont de nouveau parsemées d'ornières. Les services de la commune, pour tenter d'améliorer l'environnement ont programmé l'aménagement d'espaces verts. Il faut dire que cette commune souffre d'un manque flagrant en la matière. "Nous n'avons pas d'espaces verts, le seul lieu, qui existait, a été squatté par un particulier pour servir de parking "payant" même pour les habitants du quartier", dira ulcéré un citoyen habitant ledit quartier. Le quartier de Aïn Naâdja lui aussi connait le même problème, ce qui fait que les familles n'ont pas d'endroits où pouvoir se détendre et respirer un air non vicié. En l'absence d'aires aménagées, les personnes âgées et les enfants passent leur temps à traîner dans les rues à respirer les gaz d'échappements. C. K. La commune de Gué de Constantine peine à sortir de l'ornière en dépit des efforts considérables fournis par les autorités communales pour tenter de booster le développement local. Le quotidien des résidants de cette commune n'est pas rose. Mais ce que déplore le plus ces derniers, c'est bien l'insalubrité envahissante. Les multiples décharges transforment en effet la majorité des quartiers de cette commune, à l'instar du quartier El Hayet et de la cité des 520- Logts en gigantesque décharge publique. La route reliant ces deux quartiers n'est pas non plus en meilleur état. Cette voie d'accès qui connait un grand afflux étant l'axe principal reliant pratiquement entre eux est un véritable dépotoir d'oû émanent les mauvaises odeurs et un paradis pour les chiens et chats errants et les insectes en tous genres. Les citoyens ont malheureusement une grande part de responsabilité dans cette situation ense débarassant des ordures ménagères et divers détritus à même les trottoirs et les rues. Les services de ramassage, dépassés par une extension sans frein due à l'érection anarchique de nouvelles agglomérations, n'arrivent plus à gérer la situation. L'autre grand problème, qui n'est d'ailleurs pas propre à Gué de Constantine est la grave détérioration des routes. C'est un véritable obstacle au développement de la localité. La cité 720-Logements attend depuis plusieurs années l'aménagement de ses routes. Les habitants de ce quartier nous expliquent qu'il y a bien de temps à autres des réfections de ces routes, mais semble-t-il très mal effectuées si bien que quelques mois plus tard les routes sont de nouveau parsemées d'ornières. Les services de la commune, pour tenter d'améliorer l'environnement ont programmé l'aménagement d'espaces verts. Il faut dire que cette commune souffre d'un manque flagrant en la matière. "Nous n'avons pas d'espaces verts, le seul lieu, qui existait, a été squatté par un particulier pour servir de parking "payant" même pour les habitants du quartier", dira ulcéré un citoyen habitant ledit quartier. Le quartier de Aïn Naâdja lui aussi connait le même problème, ce qui fait que les familles n'ont pas d'endroits où pouvoir se détendre et respirer un air non vicié. En l'absence d'aires aménagées, les personnes âgées et les enfants passent leur temps à traîner dans les rues à respirer les gaz d'échappements. C. K.