Après avoir ressassé maintes et maintes fois le vrai problème de l'absence de toilettes publiques dans les grands espaces publics de la capitale, voilà que des vespasiennes ont été enfin installées au niveau de la station de bus de Taffourah. Ces toilettes publiques ont été accueillies avec soulagement par les milliers d'usagers qui transitent quotidiennement par cette station située en plein cœur de la capitale. Les transporteurs eux aussi n'ont pas manqué d'afficher leur satisfaction, peut-être pensent-ils que cette nouvelle réalisation contribuera au retour de la salubrité sur les lieux où les relents d'urine vous prennent littéralement à la gorge. Cela est d'ailleurs le cas dans les plus grandes artères de la capitale où il n'est pas rare de voir des halls d'immeubles servir d'urinoirs ou pire. Que dire des ruelles qu'il vaut mieux ne pas emprunter à moins d'avoir le cœur bien accroché. Nous avons et à maintes reprises, signalé dans ces mêmes colonnes, l'absence de toilettes publiques, du moins dans les endroits très fréquentés. Il semblerait que le message des citoyens ait enfin trouvé une oreille attentive. Il reste à généraliser ces réalisations pour permettre à nos rues et environnement de ne pas, en plus des détritus en tous genres, accueillir urine et autres excréments, n'ayant pas peur des mots. Après avoir ressassé maintes et maintes fois le vrai problème de l'absence de toilettes publiques dans les grands espaces publics de la capitale, voilà que des vespasiennes ont été enfin installées au niveau de la station de bus de Taffourah. Ces toilettes publiques ont été accueillies avec soulagement par les milliers d'usagers qui transitent quotidiennement par cette station située en plein cœur de la capitale. Les transporteurs eux aussi n'ont pas manqué d'afficher leur satisfaction, peut-être pensent-ils que cette nouvelle réalisation contribuera au retour de la salubrité sur les lieux où les relents d'urine vous prennent littéralement à la gorge. Cela est d'ailleurs le cas dans les plus grandes artères de la capitale où il n'est pas rare de voir des halls d'immeubles servir d'urinoirs ou pire. Que dire des ruelles qu'il vaut mieux ne pas emprunter à moins d'avoir le cœur bien accroché. Nous avons et à maintes reprises, signalé dans ces mêmes colonnes, l'absence de toilettes publiques, du moins dans les endroits très fréquentés. Il semblerait que le message des citoyens ait enfin trouvé une oreille attentive. Il reste à généraliser ces réalisations pour permettre à nos rues et environnement de ne pas, en plus des détritus en tous genres, accueillir urine et autres excréments, n'ayant pas peur des mots.