La tuberculose, autrefois appelée «maladie des pauvres», frappe toujours en Algérie, touchant des milliers de citoyens chaque année. Ainsi, les dernières estimations indiquent que pas moins de 20 mille nouveaux cas de tuberculose sont enregistrés annuellement au niveau national, dont 10 mille cas de tuberculose contagieuse. La tuberculose, autrefois appelée «maladie des pauvres», frappe toujours en Algérie, touchant des milliers de citoyens chaque année. Ainsi, les dernières estimations indiquent que pas moins de 20 mille nouveaux cas de tuberculose sont enregistrés annuellement au niveau national, dont 10 mille cas de tuberculose contagieuse. Ces chiffres alarmants ont été communiqués hier par le Pr Habib Douaghi, chef de service pneumologie et phtisiologie du CHU de Beni Messous, à la veille de la Journée mondiale de la tuberculose, célébrée le 24 mars de chaque année. En effet, en dépit de la disponibilité des centres spécialisés sur tout le territoire national et autres traitements médicaux efficaces, cette maladie infectieuse affecte encore les Algériens. Selon le Pr Douaghi, la tuberculose est une maladie facile à diagnostiquer avec 100% de chances de guérison, à condition de consulter dès l'apparition des premiers symptômes pour éviter justement de contaminer les autres membres de la famille. Les symptômes de la tuberculeuse se résument essentiellement par une toux chronique, une forte fièvre, une perte de poids et des expectorations sanguinolentes. «Dès l'apparition de ces signes, il est impératif de faire des tests intradermiques, une radiographie pulmonaire et un examen des respirations», a précisé l'orateur. Ce dernier a, en outre, mis en garde contre les risques de rupture des stocks de médicaments traitant la maladie, ce qui accentuera sa propagation. «Le vaccin BCG, traitant la tuberculose, doit être disponible au niveau de tous les établissements hospitaliers afin d'éviter d'éventuelles complications», a-t-il insisté. Le professeur Douaghi a appelé ainsi à assurer la disponibilité des médicaments et des vaccins protégeant les enfants et les adultes, à prendre en charge les tuberculeux et à les inciter à prendre correctement leur traitement pour vaincre la maladie. Par ailleurs, ce chef de service de l'hôpital de Beni Messous a tenu à rendre hommage aux spécialistes algériens, pour leur rôle important, durant les années 80, dans la confirmation de l'efficacité du traitement de courte durée. Ce traitement de six mois a été adopté, rappelons-le, par certains pays développés. Les années 80 ont été également, selon le Pr Douaghi, la période de l'ouverture de centres spécialisés dans la lutte contre la tuberculose au niveau de chaque wilaya. A. B. Ces chiffres alarmants ont été communiqués hier par le Pr Habib Douaghi, chef de service pneumologie et phtisiologie du CHU de Beni Messous, à la veille de la Journée mondiale de la tuberculose, célébrée le 24 mars de chaque année. En effet, en dépit de la disponibilité des centres spécialisés sur tout le territoire national et autres traitements médicaux efficaces, cette maladie infectieuse affecte encore les Algériens. Selon le Pr Douaghi, la tuberculose est une maladie facile à diagnostiquer avec 100% de chances de guérison, à condition de consulter dès l'apparition des premiers symptômes pour éviter justement de contaminer les autres membres de la famille. Les symptômes de la tuberculeuse se résument essentiellement par une toux chronique, une forte fièvre, une perte de poids et des expectorations sanguinolentes. «Dès l'apparition de ces signes, il est impératif de faire des tests intradermiques, une radiographie pulmonaire et un examen des respirations», a précisé l'orateur. Ce dernier a, en outre, mis en garde contre les risques de rupture des stocks de médicaments traitant la maladie, ce qui accentuera sa propagation. «Le vaccin BCG, traitant la tuberculose, doit être disponible au niveau de tous les établissements hospitaliers afin d'éviter d'éventuelles complications», a-t-il insisté. Le professeur Douaghi a appelé ainsi à assurer la disponibilité des médicaments et des vaccins protégeant les enfants et les adultes, à prendre en charge les tuberculeux et à les inciter à prendre correctement leur traitement pour vaincre la maladie. Par ailleurs, ce chef de service de l'hôpital de Beni Messous a tenu à rendre hommage aux spécialistes algériens, pour leur rôle important, durant les années 80, dans la confirmation de l'efficacité du traitement de courte durée. Ce traitement de six mois a été adopté, rappelons-le, par certains pays développés. Les années 80 ont été également, selon le Pr Douaghi, la période de l'ouverture de centres spécialisés dans la lutte contre la tuberculose au niveau de chaque wilaya. A. B.