Plusieurs prisonniers politiques sahraouis à la prison de Tiznit (Maroc) ont rejoint le mouvement de grève illimitée de la faim entamé, jeudi dernier, par les sept militants des droits de l'Homme détenus à la prison militaire marocaine de Salé. Cinq détenus sahraouis à la prison de Tiznit (Maroc) ont rejoint samedi dernier le mouvement de grève de la faim pour protester contre les violations des droits de l'Homme dans les territoires occupés du Sahara Occidental et la privation du peuple sahraoui par le Maroc de son droit à l'autodétermination. Quatre autres détenus ont entamé leur grève de la faim dimanche, indique l'Agence de presse sahraouie citant des sources proches du ministère des Territoires occupés et des Communautés. Le mouvement de grève devrait s'élargir à d'autres prisonniers sahraouis à travers les prisons marocaines, prévoit la même source. Les sept militants sahraouis détenus à la prison militaire de Salé avaient entamé jeudi dernier une grève illimitée de la faim pour réclamer un procès ou la libération, rappelle-t-on. Plusieurs prisonniers politiques sahraouis à la prison de Tiznit (Maroc) ont rejoint le mouvement de grève illimitée de la faim entamé, jeudi dernier, par les sept militants des droits de l'Homme détenus à la prison militaire marocaine de Salé. Cinq détenus sahraouis à la prison de Tiznit (Maroc) ont rejoint samedi dernier le mouvement de grève de la faim pour protester contre les violations des droits de l'Homme dans les territoires occupés du Sahara Occidental et la privation du peuple sahraoui par le Maroc de son droit à l'autodétermination. Quatre autres détenus ont entamé leur grève de la faim dimanche, indique l'Agence de presse sahraouie citant des sources proches du ministère des Territoires occupés et des Communautés. Le mouvement de grève devrait s'élargir à d'autres prisonniers sahraouis à travers les prisons marocaines, prévoit la même source. Les sept militants sahraouis détenus à la prison militaire de Salé avaient entamé jeudi dernier une grève illimitée de la faim pour réclamer un procès ou la libération, rappelle-t-on.