Le Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef), l'un des plus anciens syndicats du mouvement autonome algérien a tenu hier son 4e congrès à la Maison des syndicats à El Harrach. Le congrès s'est ouvert en présence de maître Mustapha Bouchachi, président de la Ligue algérienne de défense des droits de l'Homme (Laddh), des représentants du Front des forces socialistes ainsi que des représentants de syndicats autonomes. Dans son allocution d'ouverture, Mohamed Salem Sadali secrétaire général sortant, a tenu à saluer tous ceux qui ont contibué à la réussite de cette rencontre. Les congressistes, venus des quatre coins du pays, devaient installer le bureau du congrès avant d'élire Mr Kamel Zirem de Bejaïa porte-parole du congrès. Après la présentation des bilans moral et financier, les congressistes devaient passer à l'élection du nouveau secrétaire général. A l'heure où nous mettons sous presse le nom du nouveau secrétaire général n'est pas encore connu, sauf surprise Sadali sera réélu. La direction sortante a soumis au congrès deux documents respectivement intitulés «Résolutions de politique syndicale» et «Résolutions pour le redressement de l'école algérienne». «Le centralisme excessif dans la gestion du système scolaire constitue un facteur de lourdeur et de bureaucratie préjudiciable au bon fonctionnement et à la performance de ce système» lit-on dans le premier texte. Dans la résolution de politique syndicale le Satef a énuméré ses revendications, on peut citer entre autres «la consécration des libertés syndicales, la création d'une confédération de syndicats autonomes et la refonte radicale du système éducatif en vue de l'avènement d'une école neutre, performante et ouverte sur l'université, l'ouverture de la tripartite aux syndicats autonomes, une répartition juste et équitable des subventions alloués aux syndicats et la réforme de la législation du travail en vue d'une meilleure protection des travailleurs». Larbi Graïne Le Syndicat autonome des travailleurs de l'éducation et de la formation (Satef), l'un des plus anciens syndicats du mouvement autonome algérien a tenu hier son 4e congrès à la Maison des syndicats à El Harrach. Le congrès s'est ouvert en présence de maître Mustapha Bouchachi, président de la Ligue algérienne de défense des droits de l'Homme (Laddh), des représentants du Front des forces socialistes ainsi que des représentants de syndicats autonomes. Dans son allocution d'ouverture, Mohamed Salem Sadali secrétaire général sortant, a tenu à saluer tous ceux qui ont contibué à la réussite de cette rencontre. Les congressistes, venus des quatre coins du pays, devaient installer le bureau du congrès avant d'élire Mr Kamel Zirem de Bejaïa porte-parole du congrès. Après la présentation des bilans moral et financier, les congressistes devaient passer à l'élection du nouveau secrétaire général. A l'heure où nous mettons sous presse le nom du nouveau secrétaire général n'est pas encore connu, sauf surprise Sadali sera réélu. La direction sortante a soumis au congrès deux documents respectivement intitulés «Résolutions de politique syndicale» et «Résolutions pour le redressement de l'école algérienne». «Le centralisme excessif dans la gestion du système scolaire constitue un facteur de lourdeur et de bureaucratie préjudiciable au bon fonctionnement et à la performance de ce système» lit-on dans le premier texte. Dans la résolution de politique syndicale le Satef a énuméré ses revendications, on peut citer entre autres «la consécration des libertés syndicales, la création d'une confédération de syndicats autonomes et la refonte radicale du système éducatif en vue de l'avènement d'une école neutre, performante et ouverte sur l'université, l'ouverture de la tripartite aux syndicats autonomes, une répartition juste et équitable des subventions alloués aux syndicats et la réforme de la législation du travail en vue d'une meilleure protection des travailleurs». Larbi Graïne