L'âge est un facteur très important d'infertilité. En effet, il faut savoir que la fertilité chute progressivement avec l'avancée en âge : la probabilité mensuelle pour une femme d'être enceinte est de 25% à 25 ans à chaque cycle, puis de 12% à 30 ans et seulement de 6% à 40 ans. Mais il existe de nombreuses autres causes d'infertilité. L'âge est un facteur très important d'infertilité. En effet, il faut savoir que la fertilité chute progressivement avec l'avancée en âge : la probabilité mensuelle pour une femme d'être enceinte est de 25% à 25 ans à chaque cycle, puis de 12% à 30 ans et seulement de 6% à 40 ans. Mais il existe de nombreuses autres causes d'infertilité. On parle d'infertilité en l'absence de grossesse après un an de rapports sexuels réguliers (définition proposée par l'OMS). Quelles sont les différentes causes possibles ? L'avancé en âge diminue la fertilité, particulièrement après 35 ans. Une cause d'infertilité : les troubles de l'ovulation Il peut s'agir d'une absence d'ovulation en milieu de cycle, d'une ovulation peu fréquente ou irrégulière. De tels troubles de l'ovulation peuvent se traduire par des problèmes de fertilité. Rappelons que la période de fécondation optimale se situe entre 4 jours avant l'ovulation et 2 jours après. Les troubles hormonaux, responsables d'infertilité Ils peuvent être induits par certains traitements médicamenteux par exemple, mais aussi par la pollution. En effet, notre environnement et notre alimentation nous exposent de plus en plus à des substances toxiques accusées d'être des perturbateurs endocriniens, c'est-à-dire capables de dérégler notre équilibre hormonal. Une obstruction des trompes Les trompes peuvent être bouchées, endommagées, voire absentes. Cela peut se produire à la suite d'une infection, d'une intervention chirurgicale pour cause de grossesse extra-utérine ou pour une stérilisation. Le col utérin peut être responsable d'une infertilité. C'est le cas par exemple après un traitement chirurgical, lequel peut modifier la production et la qualité de la glaire cervicale, indispensable pour la pénétration des spermatozoïdes. Une tumeur bénigne La présence d'un ou de plusieurs fibromes, de polypes ou des ovaires polykystiques entrave également la fertilité car ces tumeurs gênent l'implantation de l'embryon. Ils augmentent ainsi le risque de fausse-couche. L'endométriose augmente le risque d'infertilité Cette maladie se caractérise par une migration de fragments d'endomètre en dehors de l'utérus. L'endométriose provoque des douleurs pelviennes, des troubles menstruels mais c'est aussi la cause la plus fréquente de stérilité chez la femme (30% des cas d'endométriose). Syndrome des ovaires polykystiques L'hyperprolactinémie Une production excessive de prolactine, hormone qui a pour fonction de stimuler la production de lait par les glandes mammaires, peut entraîner des troubles de la fertilité. Dans tous les cas, une grossesse qui ne vient pas après un an de tentatives régulières, doit amener à consulter et ce, d'autant plus rapidement passé 35 ans ! Insémination artificielle L'étude Bedrust néerlandaise indique que rester couchée pendant quinze minutes après une insémination artificielle augmente les chances de grossesse. Ne pas bouger pendant un moment éviterait toute "fuite" de sperme. Cette étude néerlandaise a été menée auprès de 390 couples ayant subi un traitement de fertilité, et plus précisément une insémination intra-utérine (IIU). Au cours de ce traitement, le sperme traité de l'homme est introduit dans la cavité utérine de sa partenaire. Cette technique est la procédure standard destinée aux couples pour lesquels on n'a pas encore pu déterminer la cause de l'infertilité. En moyenne, 10 à 12% des couples recourant à une insémination artificielle procréent dès la toute première implantation de l'œuf. Ce chiffre augmente encore en cas de tentatives multiples. Tomber enceinte Dans le cadre de l'étude néerlandaise, la moitié des 390 femmes a pu bouger librement après chaque traitement. L'autre moitié devait rester couchée pendant quinze minutes. Dans ce dernier cas, on a constaté une augmentation des chances de grossesse. Les traitements successifs dans le groupe des femmes devant rester couchées ont atteint des scores de 10%, 10% et 7%, contre respectivement 7%, 7% et 5% dans l'autre groupe. S. H. In santé de A à Z On parle d'infertilité en l'absence de grossesse après un an de rapports sexuels réguliers (définition proposée par l'OMS). Quelles sont les différentes causes possibles ? L'avancé en âge diminue la fertilité, particulièrement après 35 ans. Une cause d'infertilité : les troubles de l'ovulation Il peut s'agir d'une absence d'ovulation en milieu de cycle, d'une ovulation peu fréquente ou irrégulière. De tels troubles de l'ovulation peuvent se traduire par des problèmes de fertilité. Rappelons que la période de fécondation optimale se situe entre 4 jours avant l'ovulation et 2 jours après. Les troubles hormonaux, responsables d'infertilité Ils peuvent être induits par certains traitements médicamenteux par exemple, mais aussi par la pollution. En effet, notre environnement et notre alimentation nous exposent de plus en plus à des substances toxiques accusées d'être des perturbateurs endocriniens, c'est-à-dire capables de dérégler notre équilibre hormonal. Une obstruction des trompes Les trompes peuvent être bouchées, endommagées, voire absentes. Cela peut se produire à la suite d'une infection, d'une intervention chirurgicale pour cause de grossesse extra-utérine ou pour une stérilisation. Le col utérin peut être responsable d'une infertilité. C'est le cas par exemple après un traitement chirurgical, lequel peut modifier la production et la qualité de la glaire cervicale, indispensable pour la pénétration des spermatozoïdes. Une tumeur bénigne La présence d'un ou de plusieurs fibromes, de polypes ou des ovaires polykystiques entrave également la fertilité car ces tumeurs gênent l'implantation de l'embryon. Ils augmentent ainsi le risque de fausse-couche. L'endométriose augmente le risque d'infertilité Cette maladie se caractérise par une migration de fragments d'endomètre en dehors de l'utérus. L'endométriose provoque des douleurs pelviennes, des troubles menstruels mais c'est aussi la cause la plus fréquente de stérilité chez la femme (30% des cas d'endométriose). Syndrome des ovaires polykystiques L'hyperprolactinémie Une production excessive de prolactine, hormone qui a pour fonction de stimuler la production de lait par les glandes mammaires, peut entraîner des troubles de la fertilité. Dans tous les cas, une grossesse qui ne vient pas après un an de tentatives régulières, doit amener à consulter et ce, d'autant plus rapidement passé 35 ans ! Insémination artificielle L'étude Bedrust néerlandaise indique que rester couchée pendant quinze minutes après une insémination artificielle augmente les chances de grossesse. Ne pas bouger pendant un moment éviterait toute "fuite" de sperme. Cette étude néerlandaise a été menée auprès de 390 couples ayant subi un traitement de fertilité, et plus précisément une insémination intra-utérine (IIU). Au cours de ce traitement, le sperme traité de l'homme est introduit dans la cavité utérine de sa partenaire. Cette technique est la procédure standard destinée aux couples pour lesquels on n'a pas encore pu déterminer la cause de l'infertilité. En moyenne, 10 à 12% des couples recourant à une insémination artificielle procréent dès la toute première implantation de l'œuf. Ce chiffre augmente encore en cas de tentatives multiples. Tomber enceinte Dans le cadre de l'étude néerlandaise, la moitié des 390 femmes a pu bouger librement après chaque traitement. L'autre moitié devait rester couchée pendant quinze minutes. Dans ce dernier cas, on a constaté une augmentation des chances de grossesse. Les traitements successifs dans le groupe des femmes devant rester couchées ont atteint des scores de 10%, 10% et 7%, contre respectivement 7%, 7% et 5% dans l'autre groupe. S. H. In santé de A à Z