Le président syrien Bachar al-Assad a reçu hier à Damas le dirigeant druze libanais Walid Joumblatt jadis un critique virulent de la Syrie. M. Joumblatt a affirmé à plusieurs reprises qu'il voulait désormais "ouvrir un nouveau chapitre" avec Damas et le Hezbollah a joué le rôle de médiateur entre Damas et le leader druze. Lors d'un discours prononcé le 14 février 2007, pour le deuxième anniversaire de l'assassinat de l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri pour lequel Damas a été pointé du doigt, M. Joumblatt avait qualifié le président syrien de "menteur", "criminel", "sanguinaire" et "tyran". Il avait admis récemment admis que ses propos étaient "indécents, inhabituels" précisant qu'ils étaient contraires à toute "éthique politique même dans le cadre d'une querelle". M. Joumblatt avait accusé en 2005 la Syrie, ancienne puissance de tutelle au Liban, dans l'assassinat de Rafic Hariri et de son père, le leader druze Kamal Joumblatt, tué en 1977. Le président syrien Bachar al-Assad a reçu hier à Damas le dirigeant druze libanais Walid Joumblatt jadis un critique virulent de la Syrie. M. Joumblatt a affirmé à plusieurs reprises qu'il voulait désormais "ouvrir un nouveau chapitre" avec Damas et le Hezbollah a joué le rôle de médiateur entre Damas et le leader druze. Lors d'un discours prononcé le 14 février 2007, pour le deuxième anniversaire de l'assassinat de l'ancien Premier ministre libanais Rafic Hariri pour lequel Damas a été pointé du doigt, M. Joumblatt avait qualifié le président syrien de "menteur", "criminel", "sanguinaire" et "tyran". Il avait admis récemment admis que ses propos étaient "indécents, inhabituels" précisant qu'ils étaient contraires à toute "éthique politique même dans le cadre d'une querelle". M. Joumblatt avait accusé en 2005 la Syrie, ancienne puissance de tutelle au Liban, dans l'assassinat de Rafic Hariri et de son père, le leader druze Kamal Joumblatt, tué en 1977.