Dans un communiqué du ministère de l'Energie et des Mines repris par l'APS, Chakib Khelil a déclaré à Cancun (Mexique) que la spéculation est un facteur d'instabilité des marchés énergétiques, affectant les prix et les investissements dans ce secteur. Dans un communiqué du ministère de l'Energie et des Mines repris par l'APS, Chakib Khelil a déclaré à Cancun (Mexique) que la spéculation est un facteur d'instabilité des marchés énergétiques, affectant les prix et les investissements dans ce secteur. Les spéculations autour des prix du pétrole et gaz ne font que perturber le marché et doper les cours des hydrocarbures, dans la mesure où les prévisions et les calculs sordides et mercantilistes tendent à saborder la stabilité du marché mondial afin d'en tirer d'énormes profits. Dans un communiqué du ministère de l'Energie et des Mines repris par l'APS, Chakib Khelil a déclaré à Cancun (Mexique) que la spéculation est un facteur d'instabilité des marchés énergétiques, affectant les prix et les investissements dans ce secteur. L'agence indique que dans son intervention lors du Forum international de l'énergie (IEF) qui s'est tenu les 30 et 31 mars à Cancun, consacrée à "la volatilité des marchés et les incertitudes impactant l'investissement", Khelil a souligné que ''des facteurs comme la spéculation affectent les niveaux de prix et constituent des contraintes pour l'investissement et le développement des ressources pétrolières et gazières. La loi de l'offre et de la demande continue de réguler le marché et, parfois, le saborder sachant que les spéculateurs attendent le moment propice pour agir sur les prix. Lorsque l'offre de pétrole et de gaz est bien supérieure à la demande, les cours ont tendance à baisser, et le cas contraire implique une hausse inéluctable des prix». Dans cet ordre d'idées, en exprimant le point de vue de l'Algérie, pays producteur et exportateur de pétrole et de gaz, le ministre a précisé que cette instabilité est "illustrée par les surplus de capacités de production et une pression à la baisse sur les prix". A cette occasion, le ministre a voté, au nom de l'Algérie, l'adoption de la " Déclaration de Cancun" visant un renforcement institutionnel du dialogue énergétique afin de contribuer à la réduction de la volatilité des marchés, ajoute le communiqué. Cette déclaration a été préparée par un groupe de travail composé de représentants de onze grands pays producteurs et consommateurs d'énergie dont l'Algérie. En marge des travaux du forum, le ministre a eu une série d'entretiens bilatéraux avec ses homologues, notamment mexicain et polonais, et à reçu en audience le directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) ainsi que le représentant de la Commission européenne. Ces entretiens ont porté notamment sur le marché du gaz et ses perspectives, précise le ministère. Le communiqué indique également que Khelil a animé une conférence de presse dont les questions soulevées étaient focalisées sur le marché gazier, et ce, à moins d'un mois de la réunion ministérielle du 10e forum des pays exportateurs de gaz (FPEG) et de la 16e conférence internationale du gaz naturel liquéfié (GNL-16) prévue le mois en cours à Oran. Ces deux évènements, qui auront lieu dans quinze jours dans la capitale de l'Ouest, auront pour objectif d'assainir le marché du gaz et tracer la stratégie à suivre pour les pays producteurs et exportateurs afin de pouvoir faire face aux fluctuations du marché mondial du gaz dont les ministres des pays producteurs ont la ferme intention de créer une OPEP du gaz, destinée à défendre leurs intérêts et, surtout, maintenir le niveau des prix actuels. A. A. Les spéculations autour des prix du pétrole et gaz ne font que perturber le marché et doper les cours des hydrocarbures, dans la mesure où les prévisions et les calculs sordides et mercantilistes tendent à saborder la stabilité du marché mondial afin d'en tirer d'énormes profits. Dans un communiqué du ministère de l'Energie et des Mines repris par l'APS, Chakib Khelil a déclaré à Cancun (Mexique) que la spéculation est un facteur d'instabilité des marchés énergétiques, affectant les prix et les investissements dans ce secteur. L'agence indique que dans son intervention lors du Forum international de l'énergie (IEF) qui s'est tenu les 30 et 31 mars à Cancun, consacrée à "la volatilité des marchés et les incertitudes impactant l'investissement", Khelil a souligné que ''des facteurs comme la spéculation affectent les niveaux de prix et constituent des contraintes pour l'investissement et le développement des ressources pétrolières et gazières. La loi de l'offre et de la demande continue de réguler le marché et, parfois, le saborder sachant que les spéculateurs attendent le moment propice pour agir sur les prix. Lorsque l'offre de pétrole et de gaz est bien supérieure à la demande, les cours ont tendance à baisser, et le cas contraire implique une hausse inéluctable des prix». Dans cet ordre d'idées, en exprimant le point de vue de l'Algérie, pays producteur et exportateur de pétrole et de gaz, le ministre a précisé que cette instabilité est "illustrée par les surplus de capacités de production et une pression à la baisse sur les prix". A cette occasion, le ministre a voté, au nom de l'Algérie, l'adoption de la " Déclaration de Cancun" visant un renforcement institutionnel du dialogue énergétique afin de contribuer à la réduction de la volatilité des marchés, ajoute le communiqué. Cette déclaration a été préparée par un groupe de travail composé de représentants de onze grands pays producteurs et consommateurs d'énergie dont l'Algérie. En marge des travaux du forum, le ministre a eu une série d'entretiens bilatéraux avec ses homologues, notamment mexicain et polonais, et à reçu en audience le directeur exécutif de l'Agence internationale de l'énergie (AIE) ainsi que le représentant de la Commission européenne. Ces entretiens ont porté notamment sur le marché du gaz et ses perspectives, précise le ministère. Le communiqué indique également que Khelil a animé une conférence de presse dont les questions soulevées étaient focalisées sur le marché gazier, et ce, à moins d'un mois de la réunion ministérielle du 10e forum des pays exportateurs de gaz (FPEG) et de la 16e conférence internationale du gaz naturel liquéfié (GNL-16) prévue le mois en cours à Oran. Ces deux évènements, qui auront lieu dans quinze jours dans la capitale de l'Ouest, auront pour objectif d'assainir le marché du gaz et tracer la stratégie à suivre pour les pays producteurs et exportateurs afin de pouvoir faire face aux fluctuations du marché mondial du gaz dont les ministres des pays producteurs ont la ferme intention de créer une OPEP du gaz, destinée à défendre leurs intérêts et, surtout, maintenir le niveau des prix actuels. A. A.