Le cholestérol se trouve pratiquement dans tous les produits d'origine animale. Il va de pair avec les graisses qui apportent trop de calories souvent superflues et dont les lipides ont une fâcheuse tendance à se stocker là où on n'aime pas : cuisses, fesses, ventre, etc. Et ce cholestérol, ça n'est pas vraiment un bonheur pour les artères, quel que soit leur âge. Cholestérol, l'ennemi du système vasculaire Si le cholestérol est nécessaire pour tous les rôles qu'il joue dans notre organisme (fluidification des membranes cellulaires, précurseur de différentes hormones et de la vitamine D), son excès, en revanche, mène à la catastrophe. Ce trop-plein de cholestérol se produit lorsque, pour différentes raisons, celui qui n'a pas été utilisé n'est pas évacué comme il le devrait par les HDL, ces protéines qui l'emmènent dans le foie où il est dégradé en acides biliaires qui filent ensuite gentiment vers la bile. Que devient alors ce cholestérol en trop ? Il faut bien qu'il se loge quelque part ! Hélas, il affectionne le système vasculaire où il se mélange, dans une perverse alchimie, avec d'autres substances pour former une vilaine boue (appelée athérome, du grec "athérée" qui signifie bouillie) qui se colle sur les parois des artères. Comme dans les machines à laver dont les tuyaux sont envahis de calcaire, le cholestérol rétrécit le diamètre des artères. Le sang s'y propulse de moins en moins bien, ça bouchonne et quand cela se produit dans les coronaires nourricières du cœur, il faut se rendre de suite à l'hôpital. Cholestérol : principe de précaution "Mieux vaut prévenir que guérir ", dit un sage dicton. Sans pour autant tomber dans la paranoïa, le principe de précaution s'applique en matière de maladie cardiovasculaire. Et ce, dès les premières années de la vie car les plaques de cholestérol ne rechignent pas à se déposer dans de jeunes artères surtout si son propriétaire est malheureusement affecté de facteurs de risque. Chez des enfants de 12 ans obèses ou seulement trop gros, on trouve déjà de ces plaques et un excès de cholestérol. Faut-il préciser que plus l'âge avance, plus cette bouillie de cholestérol augmente ? C'est pourquoi, il est indispensable, facteurs de risque ou non, d'avoir une alimentation équilibrée, donc automatiquement peu riche en cholestérol. Et ce, dès l'enfance, l'âge où on peut prendre de bonnes habitudes alimentaires. In doctissimo Le cholestérol se trouve pratiquement dans tous les produits d'origine animale. Il va de pair avec les graisses qui apportent trop de calories souvent superflues et dont les lipides ont une fâcheuse tendance à se stocker là où on n'aime pas : cuisses, fesses, ventre, etc. Et ce cholestérol, ça n'est pas vraiment un bonheur pour les artères, quel que soit leur âge. Cholestérol, l'ennemi du système vasculaire Si le cholestérol est nécessaire pour tous les rôles qu'il joue dans notre organisme (fluidification des membranes cellulaires, précurseur de différentes hormones et de la vitamine D), son excès, en revanche, mène à la catastrophe. Ce trop-plein de cholestérol se produit lorsque, pour différentes raisons, celui qui n'a pas été utilisé n'est pas évacué comme il le devrait par les HDL, ces protéines qui l'emmènent dans le foie où il est dégradé en acides biliaires qui filent ensuite gentiment vers la bile. Que devient alors ce cholestérol en trop ? Il faut bien qu'il se loge quelque part ! Hélas, il affectionne le système vasculaire où il se mélange, dans une perverse alchimie, avec d'autres substances pour former une vilaine boue (appelée athérome, du grec "athérée" qui signifie bouillie) qui se colle sur les parois des artères. Comme dans les machines à laver dont les tuyaux sont envahis de calcaire, le cholestérol rétrécit le diamètre des artères. Le sang s'y propulse de moins en moins bien, ça bouchonne et quand cela se produit dans les coronaires nourricières du cœur, il faut se rendre de suite à l'hôpital. Cholestérol : principe de précaution "Mieux vaut prévenir que guérir ", dit un sage dicton. Sans pour autant tomber dans la paranoïa, le principe de précaution s'applique en matière de maladie cardiovasculaire. Et ce, dès les premières années de la vie car les plaques de cholestérol ne rechignent pas à se déposer dans de jeunes artères surtout si son propriétaire est malheureusement affecté de facteurs de risque. Chez des enfants de 12 ans obèses ou seulement trop gros, on trouve déjà de ces plaques et un excès de cholestérol. Faut-il préciser que plus l'âge avance, plus cette bouillie de cholestérol augmente ? C'est pourquoi, il est indispensable, facteurs de risque ou non, d'avoir une alimentation équilibrée, donc automatiquement peu riche en cholestérol. Et ce, dès l'enfance, l'âge où on peut prendre de bonnes habitudes alimentaires. In doctissimo