Hormis la pomme de terre qui a connu une baisse considérable, les autres produits restent inaccessibles au consommateur. Suite à cette hausse des prix de plusieurs produits, le consommateur s'est vu obligé de changer ses habitudes. Hormis la pomme de terre qui a connu une baisse considérable, les autres produits restent inaccessibles au consommateur. Suite à cette hausse des prix de plusieurs produits, le consommateur s'est vu obligé de changer ses habitudes. La nébuleuse mercuriale ne cesse de s'affoler à Boumerdès et d'étonner de plus en plus les consommateurs. Lors d'une tournée au niveau de quelques marchés de fruits et légumes à travers quelques localités de la wilaya, nous avons constaté une flambée sans précédent des prix de produits exposés sur les étals. Hormis la pomme de terre qui a connu une baisse considérable, les autres produits restent inaccessibles au consommateur, notamment les petites bourses. Le prix de ce tubercule varie entre 20 et 30 DA. Cette baisse est la résultante d'une production saisonnière plus importante. En effet, 30 mille tonnes de pommes de terre ont été ramassées depuis le début de la saison à Boumerdès. A cela s'ajoute le volume important de 8 mille tonnes de stockage de ce produit de large consommation. Suite à cette hausse des prix de plusieurs produits, le consommateur s'est vu obligé de changer ses habitudes. «Nous avons remarqué que les clients viennent rarement et achètent uniquement l'essentiel pour préparer un simple repas», nous dira un commerçant du marché de Boudouaou. Et à un autre d'ajouter : «Même l'affluence des clients s'est drastiquement diminuée.» Faut-il signaler que le marché de Boudouaou est parmi les plus anciens de la wilaya et est convoité par les populations des quatre coins de la wilaya. Le prix de l'oignon sur les étals a prix l'ascenseur. Il est cédé à 90 DA le kilo. Tandis que les oignons verts sont cédés entre 45 DA et 50 DA. De leur côté, les commerçants se disent ne pas comprendre cette hausse. Toutefois, ils avancent la thèse de faibles productions. Devant cette situation, les consommateurs ne cessent d'afficher leur mécontentement et avancent que «les commerçants veulent à tout prix s'enrichir au détriment des consommateurs». «L'absence de contrôle de l'Etat a fait que chacun applique des prix à sa guise», tempête un citoyen rencontré au marché de Khemis El-Khechna. Cet endroit, réputé être un marché de gros, se voit inondé par des centaines de citoyens dans l'espoir de remplir leur couffin. Même schéma pour les autres légumes qui connaissent une augmentation notable, à l'image de la laitue qui est cédée à 75 DA le kilo, les aubergines à 80 DA le kilo, la courgette à 60 DA, la tomate à 70 DA et les carottes à 60 DA le kilo. Par ailleurs, les fruits n'ont pas connu une hausse mais restent encore inaccessibles. Le prix de la banane se négocie entre 90 et 110 DA le kilo, les oranges sont à 170 DA et les pommes sont cédées à 180 DA. «Nous ne savons plus à quel saint se vouer, tout est cher et nous n'arrivons plus à remplir notre couffin», nous dira un habitant de la ville de Thénia. Outre cela, la sardine, à 350 DA le kg, est toujours inaccessible dans une wilaya qui s'étend sur 80 km2 de côtes et qui compte trois ports de pêche (Dellys, Cap Djenet et Zemmouri). En somme, la hausse des prix des produits de large consommation ne fait qu'accentuer le calvaire des consommateurs, notamment les petites bourses. T. O. La nébuleuse mercuriale ne cesse de s'affoler à Boumerdès et d'étonner de plus en plus les consommateurs. Lors d'une tournée au niveau de quelques marchés de fruits et légumes à travers quelques localités de la wilaya, nous avons constaté une flambée sans précédent des prix de produits exposés sur les étals. Hormis la pomme de terre qui a connu une baisse considérable, les autres produits restent inaccessibles au consommateur, notamment les petites bourses. Le prix de ce tubercule varie entre 20 et 30 DA. Cette baisse est la résultante d'une production saisonnière plus importante. En effet, 30 mille tonnes de pommes de terre ont été ramassées depuis le début de la saison à Boumerdès. A cela s'ajoute le volume important de 8 mille tonnes de stockage de ce produit de large consommation. Suite à cette hausse des prix de plusieurs produits, le consommateur s'est vu obligé de changer ses habitudes. «Nous avons remarqué que les clients viennent rarement et achètent uniquement l'essentiel pour préparer un simple repas», nous dira un commerçant du marché de Boudouaou. Et à un autre d'ajouter : «Même l'affluence des clients s'est drastiquement diminuée.» Faut-il signaler que le marché de Boudouaou est parmi les plus anciens de la wilaya et est convoité par les populations des quatre coins de la wilaya. Le prix de l'oignon sur les étals a prix l'ascenseur. Il est cédé à 90 DA le kilo. Tandis que les oignons verts sont cédés entre 45 DA et 50 DA. De leur côté, les commerçants se disent ne pas comprendre cette hausse. Toutefois, ils avancent la thèse de faibles productions. Devant cette situation, les consommateurs ne cessent d'afficher leur mécontentement et avancent que «les commerçants veulent à tout prix s'enrichir au détriment des consommateurs». «L'absence de contrôle de l'Etat a fait que chacun applique des prix à sa guise», tempête un citoyen rencontré au marché de Khemis El-Khechna. Cet endroit, réputé être un marché de gros, se voit inondé par des centaines de citoyens dans l'espoir de remplir leur couffin. Même schéma pour les autres légumes qui connaissent une augmentation notable, à l'image de la laitue qui est cédée à 75 DA le kilo, les aubergines à 80 DA le kilo, la courgette à 60 DA, la tomate à 70 DA et les carottes à 60 DA le kilo. Par ailleurs, les fruits n'ont pas connu une hausse mais restent encore inaccessibles. Le prix de la banane se négocie entre 90 et 110 DA le kilo, les oranges sont à 170 DA et les pommes sont cédées à 180 DA. «Nous ne savons plus à quel saint se vouer, tout est cher et nous n'arrivons plus à remplir notre couffin», nous dira un habitant de la ville de Thénia. Outre cela, la sardine, à 350 DA le kg, est toujours inaccessible dans une wilaya qui s'étend sur 80 km2 de côtes et qui compte trois ports de pêche (Dellys, Cap Djenet et Zemmouri). En somme, la hausse des prix des produits de large consommation ne fait qu'accentuer le calvaire des consommateurs, notamment les petites bourses. T. O.