Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, représentera le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, au sommet sur la sécurité nucléaire qui s'ouvre demain pour une durée de deux jours à Washington, à l'initiative du président américain, Barack Obama, a indiqué hier le ministère dans un communiqué. Outre l'Algérie, 5 autres pays arabes ont également été conviés à cette rencontre internationale de haute importance. Il s'agit de l'Arabie Saoudite, de l'Egypte, des Emirats arabes unis(EAU), de la Jordanie et du Maroc. Les travaux de ce sommet qui verront la participation des superpuissances nucléaires mondiales (Russie, Chine, France, Royaume-Uni, Pakistan et Inde), porteront essentiellement sur l'examen des voies et moyens à mettre en place pour renforcer la coopération internationale en matière de sécurisation des matériaux nucléaires et de prévention des actes de terrorisme nucléaire, précise la même source. Les représentants de 47 pays, dont l'Algérie, ainsi que ceux de l'Organisation des Nations unies, de l'Union européenne et de l'Agence internationale de l'énergie atomique ( AIEA), prendront part à cet évènement qui intervient au lendemain de la signature, à Prague, du Traité de désarmement nucléaire START II, par les président américain et russe et à la veille de la Conférence d'examen du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, prévue en mai prochain, à New York, ajoute le communiqué. La participation des responsables algériens à ce sommet international confirme si besoin est, que l'Algérie, qui dispose déjà depuis plusieurs années de deux réacteurs nucléaires, n'inspire pas d'inquiétude aux pays occidentaux qui n'y voient pas la moindre menace. Il est utile de rappeler, en outre, que l'Algérie a de tout temps développé une politique de transparence dans sa volonté d'utiliser le nucléaire à des fins civiles de développement. En plus de la coopération étroite qu'elle entretient avec l'AIEA, l'Algérie s'entoure de toutes les garanties pour éviter que le choix qu'elle a fait, à l'instar de beaucoup de pays, d'utiliser le nucléaire au profit du développement, fasse l'objet de manipulations. Younes Djama Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères, représentera le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, au sommet sur la sécurité nucléaire qui s'ouvre demain pour une durée de deux jours à Washington, à l'initiative du président américain, Barack Obama, a indiqué hier le ministère dans un communiqué. Outre l'Algérie, 5 autres pays arabes ont également été conviés à cette rencontre internationale de haute importance. Il s'agit de l'Arabie Saoudite, de l'Egypte, des Emirats arabes unis(EAU), de la Jordanie et du Maroc. Les travaux de ce sommet qui verront la participation des superpuissances nucléaires mondiales (Russie, Chine, France, Royaume-Uni, Pakistan et Inde), porteront essentiellement sur l'examen des voies et moyens à mettre en place pour renforcer la coopération internationale en matière de sécurisation des matériaux nucléaires et de prévention des actes de terrorisme nucléaire, précise la même source. Les représentants de 47 pays, dont l'Algérie, ainsi que ceux de l'Organisation des Nations unies, de l'Union européenne et de l'Agence internationale de l'énergie atomique ( AIEA), prendront part à cet évènement qui intervient au lendemain de la signature, à Prague, du Traité de désarmement nucléaire START II, par les président américain et russe et à la veille de la Conférence d'examen du traité sur la non-prolifération des armes nucléaires, prévue en mai prochain, à New York, ajoute le communiqué. La participation des responsables algériens à ce sommet international confirme si besoin est, que l'Algérie, qui dispose déjà depuis plusieurs années de deux réacteurs nucléaires, n'inspire pas d'inquiétude aux pays occidentaux qui n'y voient pas la moindre menace. Il est utile de rappeler, en outre, que l'Algérie a de tout temps développé une politique de transparence dans sa volonté d'utiliser le nucléaire à des fins civiles de développement. En plus de la coopération étroite qu'elle entretient avec l'AIEA, l'Algérie s'entoure de toutes les garanties pour éviter que le choix qu'elle a fait, à l'instar de beaucoup de pays, d'utiliser le nucléaire au profit du développement, fasse l'objet de manipulations. Younes Djama