Les habitants de la cité Ramdania, dans la commune des Eucalyptus à Alger, réclament, depuis déjà quelques années, des moyens de transport qui sont introuvables dans la commune, ce qui la rend, selon les habitants, «complètement isolée». Ce calvaire vécu quotidiennement était pourtant moins grave il y a quelques années, affirme un habitant dudit quartier, puisqu'il existait quelques bus de transport en commun, mais qui ont très vite disparu pour des raisons que les citoyens ignorent. Les habitants sont obligés alors à attendre des heures pour voir arriver un bus d'un autre quartier et même des communes voisines pour aller à leurs destinations, ce qui leur fait perdre beaucoup de temps. Les transporteurs issus de ce quartier, quant à eux, justifient cette flagrante absence de bus par "l'état très dégradé des routes de ce quartier ce qui fait fuir les transporteurs par peur d'abîmer leurs véhicules". Cette agglomération urbaine, qui manque de beaucoup d'infrastructures, est pourtant assez importante pour ne pas bénéficier des commodités primordiales telles le transport, les établissements scolaires, les marchés et les infrastructures de santé. Toutefois, l'absence des moyens de transport reste, selon les habitants, le plus grand problème puisqu'il paralyse toutes les activités dans cette cité. «Nous ne pouvons pas nous déplacer, alors que nous n'avons aucune commodité sur place, et nous sommes obligés d'aller ailleurs pour faire nos emplettes ou pour aller à l'hôpital et même pour accompagner nos enfants à l'école qui se trouve à plus d'une dizaine de kilomètres de notre quartier dans l'absence du transport scolaire», affirme une dame. Aussi, les habitants d'El-Ramdania, bien qu'ils vivent dans une cité en dur, vivent toutefois toujours dans des conditions déplorables à cause de l'absence quasi totale d'entretien. Par ailleurs, les programmes de développement de ce quartier ainsi que de toute la localité des Eucalyptus enregistrent un grand manque de moyens financiers ce qui s'est mal répercuté sur le développement de la commune. C. K. Les habitants de la cité Ramdania, dans la commune des Eucalyptus à Alger, réclament, depuis déjà quelques années, des moyens de transport qui sont introuvables dans la commune, ce qui la rend, selon les habitants, «complètement isolée». Ce calvaire vécu quotidiennement était pourtant moins grave il y a quelques années, affirme un habitant dudit quartier, puisqu'il existait quelques bus de transport en commun, mais qui ont très vite disparu pour des raisons que les citoyens ignorent. Les habitants sont obligés alors à attendre des heures pour voir arriver un bus d'un autre quartier et même des communes voisines pour aller à leurs destinations, ce qui leur fait perdre beaucoup de temps. Les transporteurs issus de ce quartier, quant à eux, justifient cette flagrante absence de bus par "l'état très dégradé des routes de ce quartier ce qui fait fuir les transporteurs par peur d'abîmer leurs véhicules". Cette agglomération urbaine, qui manque de beaucoup d'infrastructures, est pourtant assez importante pour ne pas bénéficier des commodités primordiales telles le transport, les établissements scolaires, les marchés et les infrastructures de santé. Toutefois, l'absence des moyens de transport reste, selon les habitants, le plus grand problème puisqu'il paralyse toutes les activités dans cette cité. «Nous ne pouvons pas nous déplacer, alors que nous n'avons aucune commodité sur place, et nous sommes obligés d'aller ailleurs pour faire nos emplettes ou pour aller à l'hôpital et même pour accompagner nos enfants à l'école qui se trouve à plus d'une dizaine de kilomètres de notre quartier dans l'absence du transport scolaire», affirme une dame. Aussi, les habitants d'El-Ramdania, bien qu'ils vivent dans une cité en dur, vivent toutefois toujours dans des conditions déplorables à cause de l'absence quasi totale d'entretien. Par ailleurs, les programmes de développement de ce quartier ainsi que de toute la localité des Eucalyptus enregistrent un grand manque de moyens financiers ce qui s'est mal répercuté sur le développement de la commune. C. K.