Conséquence des actes de destruction des archives de l'état civil de certaines communes durant la décennie noire, les citoyens de la commune de Sobha, dans la daïra de Aïn-Mérane sont confrontés aujourd'hui à un problème de taille qu'est celui de l'établissement de documents officiels, tels que l'extrait de naissance ou l'extrait de l'acte de mariage. A défaut de présentation d'un livret de famille, les services de l'état civil de cette commune sont dans l'incapacité de délivrer l'extrait de naissance ou l'acte de mariage particulièrement pour ceux nés en 1985 ou pour ceux qui se sont mariés en 1994. Pour pallier cette situation, le wali de Chlef, M. Mahmoud Djemaâ, a mis sur pied une commission présidée par un magistrat afin de reconstituer les archives détruites. Selon M. Mohamed Tahraoui, président de l'APC de Sobha, le problème se pose également pour certains citoyens originaires des communes avoisinantes telles que Ouled-Mohamed, Bou-Kader ou Aïn-Mérane, dont les enfants sont nés à la maternité de l'hôpital de Sobha et, par conséquent, inscrits à l'état civil de cette mairie. Dans l'attente de l'établissement d'un registre spécial, les citoyens n'ont guère le choix que de patienter sachant que l'extrait de naissance N° 12 est le document le plus important dans la constitution de tout dossier administratif. B. O. Conséquence des actes de destruction des archives de l'état civil de certaines communes durant la décennie noire, les citoyens de la commune de Sobha, dans la daïra de Aïn-Mérane sont confrontés aujourd'hui à un problème de taille qu'est celui de l'établissement de documents officiels, tels que l'extrait de naissance ou l'extrait de l'acte de mariage. A défaut de présentation d'un livret de famille, les services de l'état civil de cette commune sont dans l'incapacité de délivrer l'extrait de naissance ou l'acte de mariage particulièrement pour ceux nés en 1985 ou pour ceux qui se sont mariés en 1994. Pour pallier cette situation, le wali de Chlef, M. Mahmoud Djemaâ, a mis sur pied une commission présidée par un magistrat afin de reconstituer les archives détruites. Selon M. Mohamed Tahraoui, président de l'APC de Sobha, le problème se pose également pour certains citoyens originaires des communes avoisinantes telles que Ouled-Mohamed, Bou-Kader ou Aïn-Mérane, dont les enfants sont nés à la maternité de l'hôpital de Sobha et, par conséquent, inscrits à l'état civil de cette mairie. Dans l'attente de l'établissement d'un registre spécial, les citoyens n'ont guère le choix que de patienter sachant que l'extrait de naissance N° 12 est le document le plus important dans la constitution de tout dossier administratif. B. O.